Né à Prague le 3 décembre 1875, Rainer Maria Rilke mène une existence errante et solitaire malgré ses rencontres avec Lou Andreas-Salomé en 1896 et Clara Westhoff, élève de Rodin qu'il épouse en 1901. Secrétaire de Rodin, puis traducteur de Gide, il meurt en Suisse le 29 décembre 1926.
Les Elégies de Duino ; Les sonnets à Orphée
Par :Formats :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages318
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.217 kg
- Dimensions10,6 cm × 17,8 cm × 1,4 cm
- ISBN978-2-08-131305-7
- EAN9782081313057
- Date de parution02/09/2014
- CollectionGF
- ÉditeurFlammarion
- TraducteurJoseph François Angelloz
Résumé
Les Elégies de Duino et Les Sonnets à Orphée sont deux des plus beaux monuments de la poésie allemande, que Rilke a sans nul doute enrichie de nouvelles possibilités d'expression. Ces deux cycles se présentent par groupes de poèmes où des thèmes fondamentaux - la mort, l'amour, la naissance, l'enfance, la métamorphose, la terre et l'ange - se développent comme autant de leitmotiv et parfois se répondent ou s'opposent, avec des rappels comparables aux rappels de teintes des peintres.
Si Les Elégies et Les Sonnets ne se livrent pas au lecteur sans combat, c'est que Rilke ne les a pas composés en penseur qui raisonne mais en poète qui sent : il procédait par intuition, par visions, par éclairs, et n'écrivait que sous la "dictée intérieure" . Lançant ce qui fut son ultime message dans une sorte d'affirmation de l'existe qui lui venait probablement de Nietzsche, Rilke a voulu écrire un "Evangile de l'homme" et a pris place dans cette lignée des "phares" qui sont les ardents témoins de la grandeur humaine.
Si Les Elégies et Les Sonnets ne se livrent pas au lecteur sans combat, c'est que Rilke ne les a pas composés en penseur qui raisonne mais en poète qui sent : il procédait par intuition, par visions, par éclairs, et n'écrivait que sous la "dictée intérieure" . Lançant ce qui fut son ultime message dans une sorte d'affirmation de l'existe qui lui venait probablement de Nietzsche, Rilke a voulu écrire un "Evangile de l'homme" et a pris place dans cette lignée des "phares" qui sont les ardents témoins de la grandeur humaine.
Les Elégies de Duino et Les Sonnets à Orphée sont deux des plus beaux monuments de la poésie allemande, que Rilke a sans nul doute enrichie de nouvelles possibilités d'expression. Ces deux cycles se présentent par groupes de poèmes où des thèmes fondamentaux - la mort, l'amour, la naissance, l'enfance, la métamorphose, la terre et l'ange - se développent comme autant de leitmotiv et parfois se répondent ou s'opposent, avec des rappels comparables aux rappels de teintes des peintres.
Si Les Elégies et Les Sonnets ne se livrent pas au lecteur sans combat, c'est que Rilke ne les a pas composés en penseur qui raisonne mais en poète qui sent : il procédait par intuition, par visions, par éclairs, et n'écrivait que sous la "dictée intérieure" . Lançant ce qui fut son ultime message dans une sorte d'affirmation de l'existe qui lui venait probablement de Nietzsche, Rilke a voulu écrire un "Evangile de l'homme" et a pris place dans cette lignée des "phares" qui sont les ardents témoins de la grandeur humaine.
Si Les Elégies et Les Sonnets ne se livrent pas au lecteur sans combat, c'est que Rilke ne les a pas composés en penseur qui raisonne mais en poète qui sent : il procédait par intuition, par visions, par éclairs, et n'écrivait que sous la "dictée intérieure" . Lançant ce qui fut son ultime message dans une sorte d'affirmation de l'existe qui lui venait probablement de Nietzsche, Rilke a voulu écrire un "Evangile de l'homme" et a pris place dans cette lignée des "phares" qui sont les ardents témoins de la grandeur humaine.