Les couleurs du vin. Une palette exquise

Par : Bernard Valeur
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  • Nombre de pages112
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.2 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 0,6 cm
  • ISBN978-2-7592-3697-8
  • EAN9782759236978
  • Date de parution18/05/2023
  • ÉditeurQuae éditions

Résumé

Lors de la dégustation d'un vin, la vue est le premier sens sollicité. La robe d'un vin mérite d'être examinée sous toutes les coutures : en priorité la couleur dont la palette de teintes est d'une étonnante diversité, mais aussi la brillance, la limpidité, la fluidité et l'effervescence éventuelle. La couleur d'un vin dépend des polyphénols initialement présents dans le raisin et qui varient selon le cépage, le terroir d'origine, la maturité des raisins et le millésime.
En outre, la couleur évolue pendant la vinification, l'élevage et le vieillissement en cave. Un excès de lumière peut l'altérer, ce qui justifie l'emploi de bouteilles en verre teinté pour la conservation. Comment caractériser la couleur d'un vin ? La classique description sémantique, aussi évocatrice soit-elle, est insuffisante tandis que la comparaison à un nuancier offre une approche déjà plus rationnelle.
Les oenologues, quant à eux, privilégient les méthodes quantitatives (spectrophotométrie et colorimétrie). La palette de couleurs ne se limite pas aux nuances des vins blancs, rouges et rosés. Nombre de vins arborent des couleurs surprenantes : orange, acajou, brun, et même quasiment noir. Les processus de vinification et les conditions de vieillissement leur sont spécifiques. Et qu'en est-il des "vins bleus" ? Lors d'une dégustation, la perception de la couleur a une influence sur les perceptions olfactive et gustative qui s'ensuivent.
Sans compter que nos expériences personnelles antérieures, notre éducation et notre culture conditionnent "l'attente" que la vision colorée préalable a produite.
Lors de la dégustation d'un vin, la vue est le premier sens sollicité. La robe d'un vin mérite d'être examinée sous toutes les coutures : en priorité la couleur dont la palette de teintes est d'une étonnante diversité, mais aussi la brillance, la limpidité, la fluidité et l'effervescence éventuelle. La couleur d'un vin dépend des polyphénols initialement présents dans le raisin et qui varient selon le cépage, le terroir d'origine, la maturité des raisins et le millésime.
En outre, la couleur évolue pendant la vinification, l'élevage et le vieillissement en cave. Un excès de lumière peut l'altérer, ce qui justifie l'emploi de bouteilles en verre teinté pour la conservation. Comment caractériser la couleur d'un vin ? La classique description sémantique, aussi évocatrice soit-elle, est insuffisante tandis que la comparaison à un nuancier offre une approche déjà plus rationnelle.
Les oenologues, quant à eux, privilégient les méthodes quantitatives (spectrophotométrie et colorimétrie). La palette de couleurs ne se limite pas aux nuances des vins blancs, rouges et rosés. Nombre de vins arborent des couleurs surprenantes : orange, acajou, brun, et même quasiment noir. Les processus de vinification et les conditions de vieillissement leur sont spécifiques. Et qu'en est-il des "vins bleus" ? Lors d'une dégustation, la perception de la couleur a une influence sur les perceptions olfactive et gustative qui s'ensuivent.
Sans compter que nos expériences personnelles antérieures, notre éducation et notre culture conditionnent "l'attente" que la vision colorée préalable a produite.
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