Les contrats de travail flexibles. Une comparaison internationale

Par : Sophie Robin-Olivier
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  • Nombre de pages147
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.13 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-7246-1670-5
  • EAN9782724616705
  • Date de parution12/02/2015
  • CollectionSécuriser l'emploi
  • ÉditeurSciences Po (Les Presses de)

Résumé

Tous les pays industrialisés ont fait l'expérience de l'accroissement des formes d'emploi appelées "non-standard", "contingentes" ou "précaires" au cours des vingt dernières années et la flexisécurité ont fait l'objet de nombreux débats. Or, les formes du travail flexible, non seulement diffèrent d'un secteur à l'autre, mais aussi d'un pays à l'autre. L'emploi flexible, dont les contrats dits "atypiques" forment l'assise juridique, occupe une place de plus en plus grande dans les droits du travail de nombreux de pays.
L'ampleur du phénomène et son développement ont été maintes fois soulignés, tout comme les risques qui en résultent : à la précarité des travailleurs concernés s'ajoute, de façon moins visible, un ensemble plus large de risques sociaux, environnementaux, économiques. Les nouveaux modèles contractuels qui apparaissent accentuent la différenciation de la situation des salariés, et la quête de flexibilité entraîne, un peu partout, le développement d'une zone grise entre travail salarié et travail indépendant que le droit tente péniblement d'appréhender.
Sophie Robin-Olivier est professeur à l'école de droit de la Sorbonne (Université de Paris I). Spécialiste de droit social européen et comparé, et membre de l'IREDIES (Institut de recherche en droit international et européen de la Sorbonne). Tous les pays industrialisés ont fait l'expérience de l'accroissement des formes d'emploi appelées "non-standard", "contingentes" ou "précaires" au cours des vingt dernières années et la flexisécurité ont fait l'objet de nombreux débats.
Or, les formes du travail flexible, non seulement diffèrent d'un secteur à l'autre, mais aussi d'un pays à l'autre. L'emploi flexible, dont les contrats dits "atypiques" forment l'assise juridique, occupe une place de plus en plus grande dans les droits du travail de nombreux de pays. L'ampleur du phénomène et son développement ont été maintes fois soulignés, tout comme les risques qui en résultent : à la précarité des travailleurs concernés s'ajoute, de façon moins visible, un ensemble plus large de risques sociaux, environnementaux, économiques.
Les nouveaux modèles contractuels qui apparaissent accentuent la différenciation de la situation des salariés, et la quête de flexibilité entraîne, un peu partout, le développement d'une zone grise entre travail salarié et travail indépendant que le droit tente péniblement d'appréhender.
Tous les pays industrialisés ont fait l'expérience de l'accroissement des formes d'emploi appelées "non-standard", "contingentes" ou "précaires" au cours des vingt dernières années et la flexisécurité ont fait l'objet de nombreux débats. Or, les formes du travail flexible, non seulement diffèrent d'un secteur à l'autre, mais aussi d'un pays à l'autre. L'emploi flexible, dont les contrats dits "atypiques" forment l'assise juridique, occupe une place de plus en plus grande dans les droits du travail de nombreux de pays.
L'ampleur du phénomène et son développement ont été maintes fois soulignés, tout comme les risques qui en résultent : à la précarité des travailleurs concernés s'ajoute, de façon moins visible, un ensemble plus large de risques sociaux, environnementaux, économiques. Les nouveaux modèles contractuels qui apparaissent accentuent la différenciation de la situation des salariés, et la quête de flexibilité entraîne, un peu partout, le développement d'une zone grise entre travail salarié et travail indépendant que le droit tente péniblement d'appréhender.
Sophie Robin-Olivier est professeur à l'école de droit de la Sorbonne (Université de Paris I). Spécialiste de droit social européen et comparé, et membre de l'IREDIES (Institut de recherche en droit international et européen de la Sorbonne). Tous les pays industrialisés ont fait l'expérience de l'accroissement des formes d'emploi appelées "non-standard", "contingentes" ou "précaires" au cours des vingt dernières années et la flexisécurité ont fait l'objet de nombreux débats.
Or, les formes du travail flexible, non seulement diffèrent d'un secteur à l'autre, mais aussi d'un pays à l'autre. L'emploi flexible, dont les contrats dits "atypiques" forment l'assise juridique, occupe une place de plus en plus grande dans les droits du travail de nombreux de pays. L'ampleur du phénomène et son développement ont été maintes fois soulignés, tout comme les risques qui en résultent : à la précarité des travailleurs concernés s'ajoute, de façon moins visible, un ensemble plus large de risques sociaux, environnementaux, économiques.
Les nouveaux modèles contractuels qui apparaissent accentuent la différenciation de la situation des salariés, et la quête de flexibilité entraîne, un peu partout, le développement d'une zone grise entre travail salarié et travail indépendant que le droit tente péniblement d'appréhender.