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- Nombre de pages275
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.162 kg
- Dimensions10,9 cm × 17,9 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-7578-7560-5
- EAN9782757875605
- Date de parution14/08/2019
- CollectionPoints
- ÉditeurPoints
Résumé
Au mois de mars 1977, le président congolais Marien Ngouabi est brutalement assassiné. La violence politique éclate jusque dans l'intimité du petit village de Pointe-Noire et balaye l'innocence du petit Michel qui fera, entre autres, l'apprentissage du mensonge. Avec beaucoup de candeur, il nous raconte les trois jours confus qui ont suivi cet attentat. Devra-t-il cesser de rêver ? Alain Mabanckou est poète et romancier.
En 2015, il a été professeur de création artistique au Collège de France. Il enseigne actuellement la littérature française à l'UCLA. Il est notamment l'auteur de Mémoires de porc-épic - prix Renaudot -, Petit Piment et Le monde est mon langage . "Quelle force ! Mabanckou revigore la langue, lui donne du peps. Il tient une place particulière et nécessaire dans la littérature française. C'est un grand bonheur de le lire".
Le Figaro littéraire
En 2015, il a été professeur de création artistique au Collège de France. Il enseigne actuellement la littérature française à l'UCLA. Il est notamment l'auteur de Mémoires de porc-épic - prix Renaudot -, Petit Piment et Le monde est mon langage . "Quelle force ! Mabanckou revigore la langue, lui donne du peps. Il tient une place particulière et nécessaire dans la littérature française. C'est un grand bonheur de le lire".
Le Figaro littéraire
Au mois de mars 1977, le président congolais Marien Ngouabi est brutalement assassiné. La violence politique éclate jusque dans l'intimité du petit village de Pointe-Noire et balaye l'innocence du petit Michel qui fera, entre autres, l'apprentissage du mensonge. Avec beaucoup de candeur, il nous raconte les trois jours confus qui ont suivi cet attentat. Devra-t-il cesser de rêver ? Alain Mabanckou est poète et romancier.
En 2015, il a été professeur de création artistique au Collège de France. Il enseigne actuellement la littérature française à l'UCLA. Il est notamment l'auteur de Mémoires de porc-épic - prix Renaudot -, Petit Piment et Le monde est mon langage . "Quelle force ! Mabanckou revigore la langue, lui donne du peps. Il tient une place particulière et nécessaire dans la littérature française. C'est un grand bonheur de le lire".
Le Figaro littéraire
En 2015, il a été professeur de création artistique au Collège de France. Il enseigne actuellement la littérature française à l'UCLA. Il est notamment l'auteur de Mémoires de porc-épic - prix Renaudot -, Petit Piment et Le monde est mon langage . "Quelle force ! Mabanckou revigore la langue, lui donne du peps. Il tient une place particulière et nécessaire dans la littérature française. C'est un grand bonheur de le lire".
Le Figaro littéraire
Avis librairesCommentaires laissés par les libraires
3 Coups de cœur
de nos libraires
Marie-laure M. - 2— Decitre Chambéry
5/5
“ un moment d'histoire au Congo ”
L'auteur nous emmène à Brazzaville au Congo dans les années 1970.
A travers des personnages biens campés et sympathiques, l'auteur nous dépeint la vie quotidienne de l'époque, des scènes de vie entrecoupées d'événements politiques forts.
Il y a Michel un jeune adolescent, ses parents qu'il appelle Papa Roger et Maman Pauline, Ma Boubobi la commerçante, Mboua Mabé le chien de Michel (qui a une forte personnalité)...
L'assassinat du camarade président Ngouabi va changer la vie de Michel. C'est à travers ses yeux et ses pensées pleines d'humour et d'innocence que nous vivons avec lui un moment d'histoire.
C'est un récit important qui nous fait prendre du recul.
Un excellent roman, à lire.
L'auteur nous emmène à Brazzaville au Congo dans les années 1970.
A travers des personnages biens campés et sympathiques, l'auteur nous dépeint la vie quotidienne de l'époque, des scènes de vie entrecoupées d'événements politiques forts.
Il y a Michel un jeune adolescent, ses parents qu'il appelle Papa Roger et Maman Pauline, Ma Boubobi la commerçante, Mboua Mabé le chien de Michel (qui a une forte personnalité)...
L'assassinat du camarade président Ngouabi va changer la vie de Michel. C'est à travers ses yeux et ses pensées pleines d'humour et d'innocence que nous vivons avec lui un moment d'histoire.
C'est un récit important qui nous fait prendre du recul.
Un excellent roman, à lire.
Emilie Brg— Decitre Levallois-Perret
5/5
“ Enfant de la Nation ”
Quand le camarade président Ngouabi est assassiné en plein cœur de Brazzaville, c'est tout un peuple qui est endeuillé.
Pour son récit, l'auteur choisi l'inoncence d'un jeune garçon , Michel, que l'on va suivre durant les trois jours qui ont changé l'histoire de la République du Congo.
Ce qui fait ici la force du récit c'est sans nul doute la naïveté dont fait preuve l'adolescent pour nous narrer cette histoire, parfois même avec une certaine dose d'humour candide qui apporte une légèreté délicieuse et nécessaire.
Quand le camarade président Ngouabi est assassiné en plein cœur de Brazzaville, c'est tout un peuple qui est endeuillé.
Pour son récit, l'auteur choisi l'inoncence d'un jeune garçon , Michel, que l'on va suivre durant les trois jours qui ont changé l'histoire de la République du Congo.
Ce qui fait ici la force du récit c'est sans nul doute la naïveté dont fait preuve l'adolescent pour nous narrer cette histoire, parfois même avec une certaine dose d'humour candide qui apporte une légèreté délicieuse et nécessaire.
- Anaïs -— Decitre Levallois-Perret
4/5
“ Immersion dans la République du Congo des années 1970 ”
Michel est un adolescent rêveur et particulièrement étourdi. De manière naïve, il nous décrit les trois jours de mars 1977 qui ont fait basculer la République du Congo lors de l'assassinat du président Marien Ngouabi à Brazzaville. Entremêlant vie familiale, anecdotes truculentes et événements politiques de plus en plus tendus, ce récit est emporté par l'Histoire. On entrevoit les problèmes politiques africains, l'insécurité croissante face au basculement du gouvernement, la vision de la France dans un Congo décolonisé. Tout cela à travers le regard de Michel et ses préoccupations de jeune adolescent, sur lequel on porte un regard souvent amusé. Ce roman, par son écriture et son personnage, est très immersif dans la culture et les problématiques africaines !
Michel est un adolescent rêveur et particulièrement étourdi. De manière naïve, il nous décrit les trois jours de mars 1977 qui ont fait basculer la République du Congo lors de l'assassinat du président Marien Ngouabi à Brazzaville. Entremêlant vie familiale, anecdotes truculentes et événements politiques de plus en plus tendus, ce récit est emporté par l'Histoire. On entrevoit les problèmes politiques africains, l'insécurité croissante face au basculement du gouvernement, la vision de la France dans un Congo décolonisé. Tout cela à travers le regard de Michel et ses préoccupations de jeune adolescent, sur lequel on porte un regard souvent amusé. Ce roman, par son écriture et son personnage, est très immersif dans la culture et les problématiques africaines !
Avis des lecteursCommentaires laissés par nos lecteurs
4/5
3/5
“ Un jour au Congo ”
Le choix narratif ne m'a pas complètement séduit. Autant, dans "Verre Cassé" j'ai trouvé le choix du narrateur et l'écriture en adéquation. Autant là, j'aurai aimé plus de recul narratif pour nous parler de ce garçon aux prises avec son quotidien et l'histoire de son pays.
Le roman se déroule sur 3 journées qui vont être décisives pour le pays (coup d'état militaire) et pour sa famille, en mêlant l'intime, la culture congolaise et le vie des hommes.
Le choix narratif ne m'a pas complètement séduit. Autant, dans "Verre Cassé" j'ai trouvé le choix du narrateur et l'écriture en adéquation. Autant là, j'aurai aimé plus de recul narratif pour nous parler de ce garçon aux prises avec son quotidien et l'histoire de son pays.
Le roman se déroule sur 3 journées qui vont être décisives pour le pays (coup d'état militaire) et pour sa famille, en mêlant l'intime, la culture congolaise et le vie des hommes.
5/5
“ un roman historique politique et autobiographique ”
Ici, Mabanckou est digne de ses meilleurs romans, comme "verre cassé" qui l' avait propulsé dans la famille des écrivains francophones d'origine africaine les plus dignes d’intérêt.
Son langage, ici encore, il l'emprunte à celui de l'enfance, très imagé.
Des images d'une pureté et d'une innocence, qui lui donnent la justesse du bon sens.
Un humour frais et fracassant qui nous font éclater de rires au milieu de notre lecture.
Ici, Mabanckou est digne de ses meilleurs romans, comme "verre cassé" qui l' avait propulsé dans la famille des écrivains francophones d'origine africaine les plus dignes d’intérêt.
Son langage, ici encore, il l'emprunte à celui de l'enfance, très imagé.
Des images d'une pureté et d'une innocence, qui lui donnent la justesse du bon sens.
Un humour frais et fracassant qui nous font éclater de rires au milieu de notre lecture.
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