Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Il est procédé dans cet ouvrage à une tentative d'exégèse de l'article 1128 du Code civil aux termes duquel "Il n'y a que les choses qui sont dans...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 1 octobre et le 2 octobre
En librairie
Résumé
Il est procédé dans cet ouvrage à une tentative d'exégèse de l'article 1128 du Code civil aux termes duquel "Il n'y a que les choses qui sont dans le commerce qui puissent être l'objet des conventions". Il s'agit d'analyser la notion d'extracommercialité juridique sur un plan technique.
Une première partie, intitulée " L'extracommercialité exclusive de l'extrapatrimonialité ", tend à contester la valeur de l'assimilation systématique de la chose hors du commerce à l'intérêt juridique inappropriable et, dès lors, de nature extrapatrimoniale. De cette assimilation résulte pourtant l'essentiel pour ne pas dire la totalité de la matière actuelle de l'article 1128 du Code civil (clientèles civiles, corps humain, droits de la personnalité, état des personnes... ). Sont alors analysées toutes les raisons ayant conduit à cette assimilation de l'extracommercialité à la sphère de la personne, la sphère de l'être opposée à la sphère des choses, la sphère de l'avoir.
Une seconde partie " L'extracommercialité dans la sphère patrimoniale " tend à déterminer la place que peut avoir, aujourd'hui, l'extracommercialité au sein de la sphère patrimoniale. Sont alors étudiées certaines notions (indisponibilité, incessibilité, inaliénabilité) ayant un lien étroit avec l'extracommercialité et dont l'usage fréquent, en des domaines divers, prête à confusion.
Ce travail traite finalement de la difficulté de dire l'inappropriable et de la tendance à user de termes propres à la sphère de l'avoir afin de caractériser la sphère diamétralement opposée de la personne.
Sommaire
L'EXTRACOMMERCIALITE EXCLUSIVE DE L'EXTRAPATRIMONIALITE
L'inappropriabilité des choses hors du commerce : une légende
L'extracommercialité dans le droit des obligations : un concept malmené
L'EXTRACOMMERCIALITE DANS LA SPHERE PATRIMONIALE
L'extracommercialité : de l'impossibilité de la prestation à l'indisponibilité de la prestation à l'indisponibilité de l'objet de la prestation