Mais j'imagine le silence certaines âmes comme d'immenses lieux d'asile. Les pauvres pêcheurs, à bout de forces, y entrent à tâtons, s'y endorment, et repartent consolés sans garder aucun souvenir du grand temple invisible où ils ont déposé un moment leur fardeau.
(Bernanos)
Mais j'imagine le silence certaines âmes comme d'immenses lieux d'asile. Les pauvres pêcheurs, à bout de forces, y entrent à tâtons, s'y endorment, et repartent consolés sans garder aucun souvenir du grand temple invisible où ils ont déposé un moment leur fardeau.
(Bernanos)