Les belles contrées. Naissance du paysage italien
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- Nombre de pages216
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.27 kg
- Dimensions13,0 cm × 21,5 cm × 1,6 cm
- ISBN2-07-072981-8
- EAN9782070729814
- Date de parution01/12/1995
- ÉditeurGallimard
Résumé
L'invention, voire la construction - au sens littéral du terme - du paysage : tel est le sujet des Belles contrées. Avec l'érudition et l'inventivité dans l'écriture qui caractérisent tous ses ouvrages, Piero Camporesi remonte aux origines de la perception du paysage italien, avant que peintres, écrivains, voyageurs n'aient commencé à accumuler les stéréotypes qui ont modelé depuis des siècles notre vision de ce milieu.
Des témoignages du XV ? et du XVI ? siècle rassemblés par l'historien émerge une Italie inédite, à la curiosité fébrile, une péninsule vibrante d'énergie et de créativité, un univers concret et palpable, empli d'odeurs et de saveurs, un lieu de productions matérielles, en même temps que celui d'une beauté aussi gratuite que confondante. Camporesi est ainsi amené à redécouvrir le paysage dans une optique matérialiste, comme le lieu où l'histoire s'unit au travail et la nature à l'art.
Il révèle comment la physiologie de l'Italie a été façonnée par l'activité constante, concrète, des innombrables artisans, des ateliers, des hommes de métier, des techniciens, des expérimentateurs des arts mécaniques et appliqués. C'est grâce à leur labeur incessant, à leur ingéniosité, à leurs constructions que le paysage italien dont l'existence nous semble toute naturelle est à la fois devenu possible et visible.
Des témoignages du XV ? et du XVI ? siècle rassemblés par l'historien émerge une Italie inédite, à la curiosité fébrile, une péninsule vibrante d'énergie et de créativité, un univers concret et palpable, empli d'odeurs et de saveurs, un lieu de productions matérielles, en même temps que celui d'une beauté aussi gratuite que confondante. Camporesi est ainsi amené à redécouvrir le paysage dans une optique matérialiste, comme le lieu où l'histoire s'unit au travail et la nature à l'art.
Il révèle comment la physiologie de l'Italie a été façonnée par l'activité constante, concrète, des innombrables artisans, des ateliers, des hommes de métier, des techniciens, des expérimentateurs des arts mécaniques et appliqués. C'est grâce à leur labeur incessant, à leur ingéniosité, à leurs constructions que le paysage italien dont l'existence nous semble toute naturelle est à la fois devenu possible et visible.
L'invention, voire la construction - au sens littéral du terme - du paysage : tel est le sujet des Belles contrées. Avec l'érudition et l'inventivité dans l'écriture qui caractérisent tous ses ouvrages, Piero Camporesi remonte aux origines de la perception du paysage italien, avant que peintres, écrivains, voyageurs n'aient commencé à accumuler les stéréotypes qui ont modelé depuis des siècles notre vision de ce milieu.
Des témoignages du XV ? et du XVI ? siècle rassemblés par l'historien émerge une Italie inédite, à la curiosité fébrile, une péninsule vibrante d'énergie et de créativité, un univers concret et palpable, empli d'odeurs et de saveurs, un lieu de productions matérielles, en même temps que celui d'une beauté aussi gratuite que confondante. Camporesi est ainsi amené à redécouvrir le paysage dans une optique matérialiste, comme le lieu où l'histoire s'unit au travail et la nature à l'art.
Il révèle comment la physiologie de l'Italie a été façonnée par l'activité constante, concrète, des innombrables artisans, des ateliers, des hommes de métier, des techniciens, des expérimentateurs des arts mécaniques et appliqués. C'est grâce à leur labeur incessant, à leur ingéniosité, à leurs constructions que le paysage italien dont l'existence nous semble toute naturelle est à la fois devenu possible et visible.
Des témoignages du XV ? et du XVI ? siècle rassemblés par l'historien émerge une Italie inédite, à la curiosité fébrile, une péninsule vibrante d'énergie et de créativité, un univers concret et palpable, empli d'odeurs et de saveurs, un lieu de productions matérielles, en même temps que celui d'une beauté aussi gratuite que confondante. Camporesi est ainsi amené à redécouvrir le paysage dans une optique matérialiste, comme le lieu où l'histoire s'unit au travail et la nature à l'art.
Il révèle comment la physiologie de l'Italie a été façonnée par l'activité constante, concrète, des innombrables artisans, des ateliers, des hommes de métier, des techniciens, des expérimentateurs des arts mécaniques et appliqués. C'est grâce à leur labeur incessant, à leur ingéniosité, à leurs constructions que le paysage italien dont l'existence nous semble toute naturelle est à la fois devenu possible et visible.