Les arbres doivent-ils pouvoir plaider ?

Par : Christopher Stone
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages184
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.19 kg
  • Dimensions12,5 cm × 18,0 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-36935-520-5
  • EAN9782369355205
  • Date de parution22/04/2022
  • CollectionBoomerang
  • ÉditeurLe Passager Clandestin
  • PréfacierMarine Calmet
  • PostfacierCatherine Larrère
  • TraducteurTristan Lefort-Martine

Résumé

Au cours des dernières années, la Nouvelle-Zélande et l'Inde ont accordé la personnalité juridique à trois fleuves, tandis que la nouvelle Constitution de l'Equateur a fait de la nature un sujet de droit. Révolutionnaires, ces mesures doivent beaucoup à un homme, Christopher Stone. En 1972, pour contrer un projet de la Walt Disney Company qui menaçait une forêt de séquoias, ce juriste proposa d'accorder des droits aux arbres.
Avec ce texte, il contribua de façon décisive à la prise de conscience de la valeur intrinsèque de la nature. L'originalité de sa position tient à son caractère juridique : en conférant à la nature le droit de se défendre en justice par l'intermédiaire de représentants, il ouvre la voie au primat de sa préservation sur le pur calcul économique.
Au cours des dernières années, la Nouvelle-Zélande et l'Inde ont accordé la personnalité juridique à trois fleuves, tandis que la nouvelle Constitution de l'Equateur a fait de la nature un sujet de droit. Révolutionnaires, ces mesures doivent beaucoup à un homme, Christopher Stone. En 1972, pour contrer un projet de la Walt Disney Company qui menaçait une forêt de séquoias, ce juriste proposa d'accorder des droits aux arbres.
Avec ce texte, il contribua de façon décisive à la prise de conscience de la valeur intrinsèque de la nature. L'originalité de sa position tient à son caractère juridique : en conférant à la nature le droit de se défendre en justice par l'intermédiaire de représentants, il ouvre la voie au primat de sa préservation sur le pur calcul économique.