SF crépusculaire, labyrinthique et trouble comme une solution quantique,
dans ce royaume des lendemains modernes, l’homme est réduit à sa force de travail, bête à bouffer de l’ordi toute la journée, pour le compte d’une entreprise
flux de capitaux, côte en bourse, croissance économique, tout va bien
on ne sait jamais trop ce qui se passe parce qu’il semble ne pas se passer grand-chose
organisation en guilde, défense de territoire, mode survie : ne pas se faire licencier sinon c’est la rue et la rue c’est l’enfer !, enfin, c’est ce qu’ils disent.
Du grand texte critique, vitriol sombre, où le mot qui vient à l’esprit : vacuité.
Les agents, chronique sombre d’un futur où l’homme mis sous couvercle, abêti, se retrouve pris dans ses instincts les plus bas.
Grégoire Courtois, à mon sens, est l’un des plus dignes représentants de la SF francophone actuelle, un grand auteur !
SF crépusculaire, labyrinthique et trouble comme une solution quantique,
dans ce royaume des lendemains modernes, l’homme est réduit à sa force de travail, bête à bouffer de l’ordi toute la journée, pour le compte d’une entreprise
flux de capitaux, côte en bourse, croissance économique, tout va bien
on ne sait jamais trop ce qui se passe parce qu’il semble ne pas se passer grand-chose
organisation en guilde, défense de territoire, mode survie : ne pas se faire licencier sinon c’est la rue et la rue c’est l’enfer !, enfin, c’est ce qu’ils disent.
Du grand texte critique, vitriol sombre, où le mot qui vient à l’esprit : vacuité.
Les agents, chronique sombre d’un futur où l’homme mis sous couvercle, abêti, se retrouve pris dans ses instincts les plus bas.
Grégoire Courtois, à mon sens, est l’un des plus dignes représentants de la SF francophone actuelle, un grand auteur !