Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le plus parisien des peintres japonais. En 1959, par la vertu du baptême, Tsuguharu Fujita devient Léonard Foujita. Un seul peintre pour deux noms !...
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Le plus parisien des peintres japonais. En 1959, par la vertu du baptême, Tsuguharu Fujita devient Léonard Foujita. Un seul peintre pour deux noms ! Un seul peintre qui naît au Japon dans la maison de bois et de papier d'une famille de samouraï de haut rang et meurt en Occident, baptisé et Français, au terme d'une longue existence d'amitié avec la France. Par pensée, par habitude de définition, l'Est qui voit se lever l'astre du jour et l'Ouest qui en admire les feux du couchant s'opposent et se contrarient. Et pourtant, phénoménal migrateur japonais, Foujita a ouvert toute grande la porte par laquelle l'Est rencontre l'Ouest.