Le Voleur de regard

Par : Sebastian Fitzek

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  • Nombre de pages474
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.248 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-253-17784-5
  • EAN9782253177845
  • Date de parution12/03/2014
  • CollectionLe livre de poche. Thriller
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche
  • TraducteurJean-Marie Argelès

Résumé

Celui que les médias berlinois ont surnommé le Voleur de regards a de nouveau frappé. Comme à son habitude, il a tué une femme avant d'enlever son enfant. Dans la main de sa victime : un chronomètre qui a commencé à égrener les secondes... Mais, cette fois, on a également retrouvé le portefeuille d'Alexander Zorbach sur la scène de crime. Ancien policier devenu journaliste, celui-ci est alors pris dans l'engrenage d'un jeu machiavélique.
Il sait qu'il ne dispose que de 45 heures et 7 minutes pour découvrir où l'enfant est retenu prisonnier - et ainsi prouver son innocence... Le compte à rebours est lancé...
Celui que les médias berlinois ont surnommé le Voleur de regards a de nouveau frappé. Comme à son habitude, il a tué une femme avant d'enlever son enfant. Dans la main de sa victime : un chronomètre qui a commencé à égrener les secondes... Mais, cette fois, on a également retrouvé le portefeuille d'Alexander Zorbach sur la scène de crime. Ancien policier devenu journaliste, celui-ci est alors pris dans l'engrenage d'un jeu machiavélique.
Il sait qu'il ne dispose que de 45 heures et 7 minutes pour découvrir où l'enfant est retenu prisonnier - et ainsi prouver son innocence... Le compte à rebours est lancé...

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
De l'art de faire de l'excellent thriller !
Attention : critique commune avec "Le chasseur de regard" du même auteur. Alexander Zorbach a dû quitter la police et va bientôt quitter sa femme, Nicci, avec laquelle il a un fils de 7 ans, Julian, famille qu’il délaisse un peu pour son nouveau métier. Il met aujourd’hui ses talents d’enquêteur au service d’un journal. Il a déjà rédigé plusieurs articles sur le « voleur de regard » au moment où celui-ci commet son quatrième forfait en faisant tout pour que les soupçons de la police s’orientent vers Alexander. Le modus operandi du tueur est simple : assassiner une mère de famille, kidnapper son enfant, laisser un ultimatum de 45 heures avant de tuer l’enfant et de l’énucléer de l’œil gauche. Dans le second livre, Alexander Zorbach rempile face au chasseur de regard qui semble avoir un lien avec le voleur de regard et donc avec Alexander si ce n’est avec Alina qui avait volé au secours d’Alexander dans le premier livre. Il n’est pas strictement indispensable d’avoir lu la première histoire pour lire la seconde… mais c’est quand même à fortement conseiller ! Il est des genres honnis parce que largement galvaudés par ses propres auteurs, fleurons du dit genre pour la plupart. Il est des genres mineurs au regard de ce que peut produire par ailleurs le meilleur du roman noir. Le thriller est de ces genres. Il est des auteurs qui parviennent à (re)dorer un blason quelque peu terni, à (re)donner quelques lettres de noblesse à des genres honnis parce que etc… Sebastian Fitzek est de ces auteurs. Parce qu’il ne donne pas simplement l’air de surfer sur une mode, parce que, même si un peu d’hémoglobine ne nuit pas à ce genre de récits, ce n’est pas le centre de l’histoire ni le plus important dans ses livres, parce que Fitzek ne prend pas ses lecteurs que pour des imbéciles, il rend une copie estampillée « thriller » de premier choix. Sur une chronique récente du Vent Sombre, on note, entre autre, un bon résumé du plan type du thriller de base : « En gros, vous avez toujours besoin (1) d’un tueur d’une intelligence supérieure, (2) évidemment sans empathie, (3) prêt à exploser le compteur du sadisme en matière de meurtre. L’important est qu’à un moment donné, il ne soit finalement pas si malin que çà, afin d’être mis hors d’état de nuire. […] Ces livres ne nécessitent aucune qualité particulière de style ou de construction pour fonctionner, certains fans n’exigent même pas que cela soit crédible. » Certes, Fitzek farfouille allégrement du côté du surnaturel sous les traits d’Alina, aveugle doté d’un don de vision, ce qui est bien pratique pour démêler les tenants et les aboutissants d’un tueur en série machiavélique et insaisissable ; certes, il va passer par des scènes à la crédibilité plus ou moins alambiquée ; mais la qualité du récit, de l’intrigue, des retournements de situation qui sont tout sauf des pirouettes faciles et de l’écriture de Fitzek m’ont capté du début à la fin. Dotant plus que Fitzek joue avec les très classiques points (2) et (3) pour mieux les contourner, sans parler de la sempiternelle « happy end » tant espérée par le lecteur. Fitzek joue sur plusieurs registres et sait faire vibrer plusieurs cordes à l’unisson : la culpabilité qu’il s’agisse du tueur ou des autres personnages, thème central des deux ouvrages, l’angoisse et le suspens, l’empathie développée par les protagonistes, non pas pour le tueur, mais pour les thèses du tueur. Je vous épargnerai le sempiternel chapelet des « nouveau maître du thriller » et autres « roi de l’angoisse »… mais force est de constater que ce que fait Fitzek, il le fait très bien, mieux que certains, et qu’il pourrait donner quelques leçons d’écriture à certains auteurs de thriller.
Attention : critique commune avec "Le chasseur de regard" du même auteur. Alexander Zorbach a dû quitter la police et va bientôt quitter sa femme, Nicci, avec laquelle il a un fils de 7 ans, Julian, famille qu’il délaisse un peu pour son nouveau métier. Il met aujourd’hui ses talents d’enquêteur au service d’un journal. Il a déjà rédigé plusieurs articles sur le « voleur de regard » au moment où celui-ci commet son quatrième forfait en faisant tout pour que les soupçons de la police s’orientent vers Alexander. Le modus operandi du tueur est simple : assassiner une mère de famille, kidnapper son enfant, laisser un ultimatum de 45 heures avant de tuer l’enfant et de l’énucléer de l’œil gauche. Dans le second livre, Alexander Zorbach rempile face au chasseur de regard qui semble avoir un lien avec le voleur de regard et donc avec Alexander si ce n’est avec Alina qui avait volé au secours d’Alexander dans le premier livre. Il n’est pas strictement indispensable d’avoir lu la première histoire pour lire la seconde… mais c’est quand même à fortement conseiller ! Il est des genres honnis parce que largement galvaudés par ses propres auteurs, fleurons du dit genre pour la plupart. Il est des genres mineurs au regard de ce que peut produire par ailleurs le meilleur du roman noir. Le thriller est de ces genres. Il est des auteurs qui parviennent à (re)dorer un blason quelque peu terni, à (re)donner quelques lettres de noblesse à des genres honnis parce que etc… Sebastian Fitzek est de ces auteurs. Parce qu’il ne donne pas simplement l’air de surfer sur une mode, parce que, même si un peu d’hémoglobine ne nuit pas à ce genre de récits, ce n’est pas le centre de l’histoire ni le plus important dans ses livres, parce que Fitzek ne prend pas ses lecteurs que pour des imbéciles, il rend une copie estampillée « thriller » de premier choix. Sur une chronique récente du Vent Sombre, on note, entre autre, un bon résumé du plan type du thriller de base : « En gros, vous avez toujours besoin (1) d’un tueur d’une intelligence supérieure, (2) évidemment sans empathie, (3) prêt à exploser le compteur du sadisme en matière de meurtre. L’important est qu’à un moment donné, il ne soit finalement pas si malin que çà, afin d’être mis hors d’état de nuire. […] Ces livres ne nécessitent aucune qualité particulière de style ou de construction pour fonctionner, certains fans n’exigent même pas que cela soit crédible. » Certes, Fitzek farfouille allégrement du côté du surnaturel sous les traits d’Alina, aveugle doté d’un don de vision, ce qui est bien pratique pour démêler les tenants et les aboutissants d’un tueur en série machiavélique et insaisissable ; certes, il va passer par des scènes à la crédibilité plus ou moins alambiquée ; mais la qualité du récit, de l’intrigue, des retournements de situation qui sont tout sauf des pirouettes faciles et de l’écriture de Fitzek m’ont capté du début à la fin. Dotant plus que Fitzek joue avec les très classiques points (2) et (3) pour mieux les contourner, sans parler de la sempiternelle « happy end » tant espérée par le lecteur. Fitzek joue sur plusieurs registres et sait faire vibrer plusieurs cordes à l’unisson : la culpabilité qu’il s’agisse du tueur ou des autres personnages, thème central des deux ouvrages, l’angoisse et le suspens, l’empathie développée par les protagonistes, non pas pour le tueur, mais pour les thèses du tueur. Je vous épargnerai le sempiternel chapelet des « nouveau maître du thriller » et autres « roi de l’angoisse »… mais force est de constater que ce que fait Fitzek, il le fait très bien, mieux que certains, et qu’il pourrait donner quelques leçons d’écriture à certains auteurs de thriller.
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