Dans les remous larvés d’un pays, Haiti, ceux des années 70 qui résonnent des ombres cinglantes d'une dictature et des Tontons Macoutes ,« Le violon d’Adrien »se fait l‘écho puissant des désirs ardents qui parfois broient l’innocence, Gary Victor, dessine un grand théâtre de tendresse et de douleurs, de complexités rampantes d’où s’extraient des d’humanités sur un fil toujours tremblant.
Un roman d’apprentissage où les monde de l’enfance se cognent à celui des adultes, où les rêves d’un gamin s’enracinent dans les notes fuyantes du corps d’un violon,
entre fantasmes, réalité sombre et galopante, dans un concert aussi touchant que puissant d’évocations.
Le violon d'Adrien.
Dans les remous larvés d’un pays, Haiti, ceux des années 70 qui résonnent des ombres cinglantes d'une dictature et des Tontons Macoutes ,« Le violon d’Adrien »se fait l‘écho puissant des désirs ardents qui parfois broient l’innocence, Gary Victor, dessine un grand théâtre de tendresse et de douleurs, de complexités rampantes d’où s’extraient des d’humanités sur un fil toujours tremblant.
Un roman d’apprentissage où les monde de l’enfance se cognent à celui des adultes, où les rêves d’un gamin s’enracinent dans les notes fuyantes du corps d’un violon, entre fantasmes, réalité sombre et galopante, dans un concert aussi touchant que puissant d’évocations.