Le thé, qui "désenivre... et fortifie la raison..."

Par : Frédéric Tiphagne

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  • Nombre de pages141
  • PrésentationBroché
  • Poids0.116 kg
  • Dimensions10,6 cm × 17,5 cm × 0,9 cm
  • ISBN978-2-7453-3055-0
  • EAN9782745330550
  • Date de parution15/10/2015
  • CollectionChampion les mots
  • ÉditeurHonoré Champion
  • PréfacierThierry Clermont

Résumé

Cette formule, employée par Antoine Furetière dans son Dictionnaire universel de 1690, nous rappelle que le thé fut d'abord assimilé en Europe à un remède salutaire aux mille vertus. Et de préciser que le breuvage doré « donne de nouvelles forces pour boire ». Il représente une boisson éminemment littéraire ayant stimulé l'imagination de nombreux auteurs. Ainsi peut-on lire dans le Journal des Goncourt qu'« il serait intéressant qu'un littérateur intelligent fît plusieurs livres d'imagination : l'un au régime du café, l'autre au régime du thé, l'autre au régime du vin et de l'alcool, et qu'il étudiât sur lui les influences de ces excitants sur sa littérature et qu'il en fît part au public… Moi, si jamais j'écris mon étude obscène, je l'écrirai au thé ».
Mais le thé, qui « s'enracine » dans une tradition ancestrale, a bien d'autres facettes : les légendes chinoises l'assimilent à la découverte fortuite d'un empereur fabuleux à tête de bœuf ; la Compagnie britannique des Indes orientales le finança un temps par le trafic de l'opium ; les Japonais en firent l'objet d'une cérémonie raffinée ; les indépendantistes nord-américains, un casus belli… Et si vous ne connaissez ni le chanoyu ni le bandège ou le calin – sans accent circonflexe – consultez l'index de cet ouvrage.
L'histoire du thé passe par les mots… Sans oublier les nombreuses illustrations.
Cette formule, employée par Antoine Furetière dans son Dictionnaire universel de 1690, nous rappelle que le thé fut d'abord assimilé en Europe à un remède salutaire aux mille vertus. Et de préciser que le breuvage doré « donne de nouvelles forces pour boire ». Il représente une boisson éminemment littéraire ayant stimulé l'imagination de nombreux auteurs. Ainsi peut-on lire dans le Journal des Goncourt qu'« il serait intéressant qu'un littérateur intelligent fît plusieurs livres d'imagination : l'un au régime du café, l'autre au régime du thé, l'autre au régime du vin et de l'alcool, et qu'il étudiât sur lui les influences de ces excitants sur sa littérature et qu'il en fît part au public… Moi, si jamais j'écris mon étude obscène, je l'écrirai au thé ».
Mais le thé, qui « s'enracine » dans une tradition ancestrale, a bien d'autres facettes : les légendes chinoises l'assimilent à la découverte fortuite d'un empereur fabuleux à tête de bœuf ; la Compagnie britannique des Indes orientales le finança un temps par le trafic de l'opium ; les Japonais en firent l'objet d'une cérémonie raffinée ; les indépendantistes nord-américains, un casus belli… Et si vous ne connaissez ni le chanoyu ni le bandège ou le calin – sans accent circonflexe – consultez l'index de cet ouvrage.
L'histoire du thé passe par les mots… Sans oublier les nombreuses illustrations.