L'Abeille et son miel. "Fille du ciel et manne céleste"

Par : Frédéric Tiphagne

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages138
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.115 kg
  • Dimensions10,5 cm × 17,5 cm × 0,9 cm
  • ISBN978-2-7453-2864-9
  • EAN9782745328649
  • Date de parution16/10/2014
  • CollectionChampion les mots
  • ÉditeurHonoré Champion

Résumé

Industrieuse, dérobe-fleur, mignarde, suçotante ou aiguillonnante figuraient parmi les épithètes que recensait Maurice de La Porte en 1571 pour qualifier l'abeille, dans un ouvrage qui fit date. Quelque deux cent trente années plus tard, Bonaparte devenu Napoléon Ier parsèmera ses armoiries d'abeilles d'or. "Ainsi a-t-on dit quelquefois les abeilles pour l'Empire", écrira Emile Littré dans le courant du XIXe siècle.
Plus tard encore, en 1901, Maurice Maeterlinck affirmera, avec un lyrisme flamboyant, que les abeilles "sont l'âme de l'été, l'horloge des minutes d'abondance, l'aile diligente des parfums qui s'élancent, l'intelligence des rayons qui planent, le murmure des clartés qui tressaillent, le chant de l'atmosphère qui s'étire et se repose". Quant au miel, qu'il soit l'instrument d'un atroce supplice (le cyphonisme) ou bien qu'il soit subtil, suave, profitable, rosineux ou plus simplement délicieux, il a également charrié derrière lui les croyances, les savoirs et les représentations des époques successives.
L'ouvrage, en proverbes, dictons, expressions et citations abonde, et les illustrations y sont légion.
Industrieuse, dérobe-fleur, mignarde, suçotante ou aiguillonnante figuraient parmi les épithètes que recensait Maurice de La Porte en 1571 pour qualifier l'abeille, dans un ouvrage qui fit date. Quelque deux cent trente années plus tard, Bonaparte devenu Napoléon Ier parsèmera ses armoiries d'abeilles d'or. "Ainsi a-t-on dit quelquefois les abeilles pour l'Empire", écrira Emile Littré dans le courant du XIXe siècle.
Plus tard encore, en 1901, Maurice Maeterlinck affirmera, avec un lyrisme flamboyant, que les abeilles "sont l'âme de l'été, l'horloge des minutes d'abondance, l'aile diligente des parfums qui s'élancent, l'intelligence des rayons qui planent, le murmure des clartés qui tressaillent, le chant de l'atmosphère qui s'étire et se repose". Quant au miel, qu'il soit l'instrument d'un atroce supplice (le cyphonisme) ou bien qu'il soit subtil, suave, profitable, rosineux ou plus simplement délicieux, il a également charrié derrière lui les croyances, les savoirs et les représentations des époques successives.
L'ouvrage, en proverbes, dictons, expressions et citations abonde, et les illustrations y sont légion.