Le supplice des week-ends - Poche

Paulette Vieilhomme

(Traducteur)

,

Jacques Sternberg

Note moyenne 
Robert Benchley - Le supplice des week-ends.
Dans la préface qu'il a rédigée pour ce choix de textes humoristiques écrits par Robert Benchley au cours de sa féconde carrière dans les plus célèbres... Lire la suite
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Résumé

Dans la préface qu'il a rédigée pour ce choix de textes humoristiques écrits par Robert Benchley au cours de sa féconde carrière dans les plus célèbres revues de son temps - Vanity Fair et The New Yorker -, le propre fils de l'auteur nous prévient: il faut lire ce recueil avec précaution, tout au moins "à dose homéopathique". Membre du célèbre Round Table de l'hôtel Algonquin, qui réunissait les esprits les plus brillants de l'époque (Dorothy Parker, lames Thurber entre autres), Robert Benchley se montre ici digne de ses pairs et peut-être même leur maître à tous dans le registre du nonsense où il déploie une onsolence glacée ainsi qu'un sens du coq-à-l'âne et de la logique (souvent inversée) qui ont peu d'équivalents dans la littérature universelle. Benchley, on adore ou on déteste, impossible en revanche de rester indifférent à cette sorte de philosophie de la vie qui nous prend à contre-pied. Avec modération? C'est à voir: Benchley, c'est aussi un antidote contre tous les supplices de la vie quotidienne.

Caractéristiques

  • Date de parution
    14/01/2010
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-221-11510-7
  • EAN
    9782221115107
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    301 pages
  • Poids
    0.2 Kg
  • Dimensions
    12,0 cm × 18,0 cm × 1,5 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Robert Benchley

Comme c'est souvent le cas avec les humoristes, la vie de Robert Benchley (1889-1945) ne fut pas un long fleuve tranquille, ni même joyeux. Il connut ses premières difficultés à l'université d'Harvard malgré le talent précoce qu'il manifesta en collaborant au Harvard Lampoon. Le diplôme était l'indispensable sésame pour la carrière de journaliste qu'il envisageait ; on ne l'accorda à ce pince-sans-rire qui se moquait des autorités qu'avec réticence et tardivement. Ses premiers galons, il les obtint en qualité de critique dramatique à Vanity Fair, où il succéda à P. G. Wodehouse. Plus tard, son chemin croisa celui des habitués du célèbre Round Table de l'hôtel Algonquin, où siégeaient notamment Dorothy Parker - qui devint l'une de ses grandes amies - et James Thurber. Ils l'introduisirent au New Yorker, où ses billets d'humeur et d'humour auraient dû faire merveille. Mais on lui reprocha son dilettantisme et ses fréquents retards (il s'excusa un jour en disant qu'il avait été retardé par un troupeau d'éléphants dans la 44` Rue !). C'est que Benchley fut un être multidimensionnel qui mena, en parallèle à son activité d'écrivain, celle de scénariste et même d'acteur. Ainsi peut-on l'apercevoir dans Ma femme est une sorcière de René Clair et dans Correspondant 17 d'Alfred Hitchcock. Il connut aussi une certaine célébrité avec ses courts métrages, dont le plus fameux reste How to Sleep? (Comment dormir ?). Ce pionnier de l'humour " nonsense " continue plus d'un demi-siècle après sa disparition prématurée à faire la joie des spécialistes.

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