Le sport contre la société
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- Nombre de pages196
- PrésentationBroché
- Poids0.23 kg
- Dimensions13,0 cm × 20,5 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-35687-174-9
- EAN9782356871749
- Date de parution04/06/2012
- CollectionAltérité critique
- ÉditeurLe Bord de l'eau
Résumé
Alors que le monde capitaliste connaît la crise la plus
profonde, la plus violente et la plus longue qu'il ait connu
depuis les années 1930, le "sport" ne semble souffrir d'aucune
récession financière, politique ou démographique, nous en
voulons pour preuve les grandes compétitions internationale,
Jeux olympiques de Londres et Championnat d'Europe de
football, qui se dérouleront cette année.
Organisé en institution centrale de la société capitaliste dominante, le sport ne paraît nullement souffrir du développement du chômage, de l'appauvrissement des populations, de l'attaque généralisée contre les services publics d'éducation, de santé, de transport, de l'énergie. Structuré en comités, fédérations ou ligues, le sport mondial est devenu le refuge idéologique de tous les courants politiques qui voient en lui fraternité, démocratie et mérite au point où l'état de crise justifie à lui seul l'organisation de ces compétitions sportives internationales.
Les auteurs démontrent qu'au travers d'une philosophie politique déterminée de la lutte de tous contre tous, de tous contre chacun, de chacun contre tous, et sous couvert de partage, le sport, symbole de la domination la plus outrancière, s'attaque à l'altérité, participant du conformisme humain (sexuel, technique, naissance de l'anthropofacture culturelle...). Il s'attaque également à l'espace vécu et au cadre de vie urbain et non urbain, à la possible existence d'une économie raisonnée, sous l'égide toujours croissante d'une propagande du mérite, du travail et de la productivité...
Le sport en tant qu'institution capitaliste dominante, colonise désormais la vie dans sa totalité, et ne cache plus sa volonté de domination des peuples transformés en "masses".
Organisé en institution centrale de la société capitaliste dominante, le sport ne paraît nullement souffrir du développement du chômage, de l'appauvrissement des populations, de l'attaque généralisée contre les services publics d'éducation, de santé, de transport, de l'énergie. Structuré en comités, fédérations ou ligues, le sport mondial est devenu le refuge idéologique de tous les courants politiques qui voient en lui fraternité, démocratie et mérite au point où l'état de crise justifie à lui seul l'organisation de ces compétitions sportives internationales.
Les auteurs démontrent qu'au travers d'une philosophie politique déterminée de la lutte de tous contre tous, de tous contre chacun, de chacun contre tous, et sous couvert de partage, le sport, symbole de la domination la plus outrancière, s'attaque à l'altérité, participant du conformisme humain (sexuel, technique, naissance de l'anthropofacture culturelle...). Il s'attaque également à l'espace vécu et au cadre de vie urbain et non urbain, à la possible existence d'une économie raisonnée, sous l'égide toujours croissante d'une propagande du mérite, du travail et de la productivité...
Le sport en tant qu'institution capitaliste dominante, colonise désormais la vie dans sa totalité, et ne cache plus sa volonté de domination des peuples transformés en "masses".
Alors que le monde capitaliste connaît la crise la plus
profonde, la plus violente et la plus longue qu'il ait connu
depuis les années 1930, le "sport" ne semble souffrir d'aucune
récession financière, politique ou démographique, nous en
voulons pour preuve les grandes compétitions internationale,
Jeux olympiques de Londres et Championnat d'Europe de
football, qui se dérouleront cette année.
Organisé en institution centrale de la société capitaliste dominante, le sport ne paraît nullement souffrir du développement du chômage, de l'appauvrissement des populations, de l'attaque généralisée contre les services publics d'éducation, de santé, de transport, de l'énergie. Structuré en comités, fédérations ou ligues, le sport mondial est devenu le refuge idéologique de tous les courants politiques qui voient en lui fraternité, démocratie et mérite au point où l'état de crise justifie à lui seul l'organisation de ces compétitions sportives internationales.
Les auteurs démontrent qu'au travers d'une philosophie politique déterminée de la lutte de tous contre tous, de tous contre chacun, de chacun contre tous, et sous couvert de partage, le sport, symbole de la domination la plus outrancière, s'attaque à l'altérité, participant du conformisme humain (sexuel, technique, naissance de l'anthropofacture culturelle...). Il s'attaque également à l'espace vécu et au cadre de vie urbain et non urbain, à la possible existence d'une économie raisonnée, sous l'égide toujours croissante d'une propagande du mérite, du travail et de la productivité...
Le sport en tant qu'institution capitaliste dominante, colonise désormais la vie dans sa totalité, et ne cache plus sa volonté de domination des peuples transformés en "masses".
Organisé en institution centrale de la société capitaliste dominante, le sport ne paraît nullement souffrir du développement du chômage, de l'appauvrissement des populations, de l'attaque généralisée contre les services publics d'éducation, de santé, de transport, de l'énergie. Structuré en comités, fédérations ou ligues, le sport mondial est devenu le refuge idéologique de tous les courants politiques qui voient en lui fraternité, démocratie et mérite au point où l'état de crise justifie à lui seul l'organisation de ces compétitions sportives internationales.
Les auteurs démontrent qu'au travers d'une philosophie politique déterminée de la lutte de tous contre tous, de tous contre chacun, de chacun contre tous, et sous couvert de partage, le sport, symbole de la domination la plus outrancière, s'attaque à l'altérité, participant du conformisme humain (sexuel, technique, naissance de l'anthropofacture culturelle...). Il s'attaque également à l'espace vécu et au cadre de vie urbain et non urbain, à la possible existence d'une économie raisonnée, sous l'égide toujours croissante d'une propagande du mérite, du travail et de la productivité...
Le sport en tant qu'institution capitaliste dominante, colonise désormais la vie dans sa totalité, et ne cache plus sa volonté de domination des peuples transformés en "masses".

