Le Spleen de Paris. "Petites babioles" et "Bagatelles" de Baudelaire
2e édition revue et augmentée
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- Nombre de pages497
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.81 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-7227-0157-1
- EAN9782722701571
- Date de parution01/06/2021
- CollectionChamps du Signe
- ÉditeurEditions Universitaires du Sud
- PréfacierGuy Larroux
Résumé
Cette nouvelle édition, revue et augmentée, préfacée par Guy Larroux, s'est attachée à rendre plus aisée une lecture personnelle et sensible d'une oeuvre qui ne cesse d'intéresser et de passionner. Le discours poétique baudelairien est dense et complexe, d'autant que Les Fleurs du Mal et leur "pendant" Le Spleen de Paris sont en dialogue permanent avec les oeuvres critiques, les comptes-rendus, les essais et même les traductions de l'écrivain poète.
Une attention particulière a été portée aux "petits poèmes en prose" : la métaphore du serpent de la dédicace-préface du Spleen de Paris et le symbole emblème du "Thyrse" incitent en effet à repenser la notion d'entrée ou d'ouverture des recueils et à lier la production du discours poétique à l'entremêlement dynamique, éthique et esthétique de la ligne droite et de la ligne arabesque. Ce qui est proposé au lecteur, c'est une présentation ouverte des poèmes et des recueils sous la forme de ce que l'on pourrait appeler visuellement et musicalement des "tableaux d'une exposition".
Baudelaire peint, sculpte. compose, écrit avec des "mots" dans leurs spécificités de "signes" et de "valeurs", en explorant et en exploitant tous les possibles de la langue dans l'art de la a magie suggestive a et de la "sorcellerie évocatoire". Au lecteur de regarder, contempler, écouter, entendre, lire ces a tableaux d'une exposition n dans laquelle il est invité à entrer et à déambuler selon son propre cheminement, même si, à titre purement indicatif, le parcours est fléché.
Il est même permis de se demander si l'auteur de ce livre n'a pas lui-même retrouvé ses pinceaux pour l'écrire...
Une attention particulière a été portée aux "petits poèmes en prose" : la métaphore du serpent de la dédicace-préface du Spleen de Paris et le symbole emblème du "Thyrse" incitent en effet à repenser la notion d'entrée ou d'ouverture des recueils et à lier la production du discours poétique à l'entremêlement dynamique, éthique et esthétique de la ligne droite et de la ligne arabesque. Ce qui est proposé au lecteur, c'est une présentation ouverte des poèmes et des recueils sous la forme de ce que l'on pourrait appeler visuellement et musicalement des "tableaux d'une exposition".
Baudelaire peint, sculpte. compose, écrit avec des "mots" dans leurs spécificités de "signes" et de "valeurs", en explorant et en exploitant tous les possibles de la langue dans l'art de la a magie suggestive a et de la "sorcellerie évocatoire". Au lecteur de regarder, contempler, écouter, entendre, lire ces a tableaux d'une exposition n dans laquelle il est invité à entrer et à déambuler selon son propre cheminement, même si, à titre purement indicatif, le parcours est fléché.
Il est même permis de se demander si l'auteur de ce livre n'a pas lui-même retrouvé ses pinceaux pour l'écrire...
Cette nouvelle édition, revue et augmentée, préfacée par Guy Larroux, s'est attachée à rendre plus aisée une lecture personnelle et sensible d'une oeuvre qui ne cesse d'intéresser et de passionner. Le discours poétique baudelairien est dense et complexe, d'autant que Les Fleurs du Mal et leur "pendant" Le Spleen de Paris sont en dialogue permanent avec les oeuvres critiques, les comptes-rendus, les essais et même les traductions de l'écrivain poète.
Une attention particulière a été portée aux "petits poèmes en prose" : la métaphore du serpent de la dédicace-préface du Spleen de Paris et le symbole emblème du "Thyrse" incitent en effet à repenser la notion d'entrée ou d'ouverture des recueils et à lier la production du discours poétique à l'entremêlement dynamique, éthique et esthétique de la ligne droite et de la ligne arabesque. Ce qui est proposé au lecteur, c'est une présentation ouverte des poèmes et des recueils sous la forme de ce que l'on pourrait appeler visuellement et musicalement des "tableaux d'une exposition".
Baudelaire peint, sculpte. compose, écrit avec des "mots" dans leurs spécificités de "signes" et de "valeurs", en explorant et en exploitant tous les possibles de la langue dans l'art de la a magie suggestive a et de la "sorcellerie évocatoire". Au lecteur de regarder, contempler, écouter, entendre, lire ces a tableaux d'une exposition n dans laquelle il est invité à entrer et à déambuler selon son propre cheminement, même si, à titre purement indicatif, le parcours est fléché.
Il est même permis de se demander si l'auteur de ce livre n'a pas lui-même retrouvé ses pinceaux pour l'écrire...
Une attention particulière a été portée aux "petits poèmes en prose" : la métaphore du serpent de la dédicace-préface du Spleen de Paris et le symbole emblème du "Thyrse" incitent en effet à repenser la notion d'entrée ou d'ouverture des recueils et à lier la production du discours poétique à l'entremêlement dynamique, éthique et esthétique de la ligne droite et de la ligne arabesque. Ce qui est proposé au lecteur, c'est une présentation ouverte des poèmes et des recueils sous la forme de ce que l'on pourrait appeler visuellement et musicalement des "tableaux d'une exposition".
Baudelaire peint, sculpte. compose, écrit avec des "mots" dans leurs spécificités de "signes" et de "valeurs", en explorant et en exploitant tous les possibles de la langue dans l'art de la a magie suggestive a et de la "sorcellerie évocatoire". Au lecteur de regarder, contempler, écouter, entendre, lire ces a tableaux d'une exposition n dans laquelle il est invité à entrer et à déambuler selon son propre cheminement, même si, à titre purement indicatif, le parcours est fléché.
Il est même permis de se demander si l'auteur de ce livre n'a pas lui-même retrouvé ses pinceaux pour l'écrire...