Voilà typiquement un ouvrage que j’ai décidé de lire parce que la couverture m’a attiré l’œil et parce que le pitch était bien fichu. Que des arguments que les lecteurs occasionnels ou réguliers comprendront aisément car on le sait bien, une belle jaquette, c’est déjà avoir 50% du lecteur dans sa poche. Celle-ci est particulièrement réussie et cela mérite d’être souligné car je ne compte plus les ratages ces derniers mois…
Idem pour le pitch. Le combo parfait pour piéger la proie (le lecteur), mais c’est de bonne guerre et on est volontaire !
Le début de ma lecture s’est bien déroulée. J’avais vraiment l’impression d’avoir fait un bon choix, de découvrir une pépite. Je découvrais le narrateur dont on ne sait pas grand-chose : orphelin, plutôt rondouillard, observateur. Voilà et on en apprendra guère plus jusqu’à la fin. Le cadre général semblait être excellent, on avait tout pour frissonner. Enfin c’était vrai jusqu’au premier tiers du roman.
Ensuite, j’ai commencé à me lassé un peu. J’ai trouvé que cela s’étirait en longueur malgré des découvertes macabres, des évènements glauques…. Trop de pensées interminables de la part de notre narrateur, trop de suppositions plus ou moins farfelues, tirées par les cheveux, de conjonctions plus ou moins bien advenues… Et je n’insiste pas sur le fait qu’il rabâche pas mal le petiot ou s’arrange avec les variations de situation pour nous en refaire une longue tirade.
Bref, j’ai commencé à m’ennuyer ferme, mais j’étais curieuse de voir si c’était passager.
Hélas non. Il en fut ainsi jusqu’au dénouement.
Heureusement, l’ouvrage n’est pas trop long, cela aurait été indigeste.
Il y a aussi d’autres points plus positifs comme l’idée de la trame générale. Globalement, c’est ingénieux, déjà vus, mais pas si mal. C’est juste que cela ne passe pas à cause de cette écriture qui ne m’a pas convenue. Mais je pense que ce serait une excellente base pour une adaptation pour le cinéma. Il y a de la matière, des idées, des personnages intéressants et qui seraient mieux mise en valeur dans une atmosphère plus visuelle et sonore.
Voilà typiquement un ouvrage que j’ai décidé de lire parce que la couverture m’a attiré l’œil et parce que le pitch était bien fichu. Que des arguments que les lecteurs occasionnels ou réguliers comprendront aisément car on le sait bien, une belle jaquette, c’est déjà avoir 50% du lecteur dans sa poche. Celle-ci est particulièrement réussie et cela mérite d’être souligné car je ne compte plus les ratages ces derniers mois…
Idem pour le pitch. Le combo parfait pour piéger la proie (le lecteur), mais c’est de bonne guerre et on est volontaire !
Le début de ma lecture s’est bien déroulée. J’avais vraiment l’impression d’avoir fait un bon choix, de découvrir une pépite. Je découvrais le narrateur dont on ne sait pas grand-chose : orphelin, plutôt rondouillard, observateur. Voilà et on en apprendra guère plus jusqu’à la fin. Le cadre général semblait être excellent, on avait tout pour frissonner. Enfin c’était vrai jusqu’au premier tiers du roman.
Ensuite, j’ai commencé à me lassé un peu. J’ai trouvé que cela s’étirait en longueur malgré des découvertes macabres, des évènements glauques…. Trop de pensées interminables de la part de notre narrateur, trop de suppositions plus ou moins farfelues, tirées par les cheveux, de conjonctions plus ou moins bien advenues… Et je n’insiste pas sur le fait qu’il rabâche pas mal le petiot ou s’arrange avec les variations de situation pour nous en refaire une longue tirade.
Bref, j’ai commencé à m’ennuyer ferme, mais j’étais curieuse de voir si c’était passager.
Hélas non. Il en fut ainsi jusqu’au dénouement.
Heureusement, l’ouvrage n’est pas trop long, cela aurait été indigeste.
Il y a aussi d’autres points plus positifs comme l’idée de la trame générale. Globalement, c’est ingénieux, déjà vus, mais pas si mal. C’est juste que cela ne passe pas à cause de cette écriture qui ne m’a pas convenue. Mais je pense que ce serait une excellente base pour une adaptation pour le cinéma. Il y a de la matière, des idées, des personnages intéressants et qui seraient mieux mise en valeur dans une atmosphère plus visuelle et sonore.