Avec ce livre, j’ai découvert un personnage de l’Histoire de France : le marquis de Marigny. Bon ok, là comme ça, même si le nom est familier, on ne voit pas trop de qui il s’agit. En fait, ce monsieur n’est autre que le frère de La Pompadour, favorite du roi Louis XV.
Abel François Poisson, de son vrai nom, va bénéficier de l’aura d’influence de sa sœur et se voit ainsi confier la charge de Directeur des Bâtiments du Roi.
Cette nomination n’est pas sans faire grincer des dents à la Cour mais Abel n’en a cure. Il est jeune et trouve qu’il a bien le temps de s’attarder
sur ces médisances.
Pour former son esprit, il va partir en Italie, berceau de l’art européen, en prendre plein les yeux mais aussi et surtout se forger des amitiés durables avec ses compagnons de voyage parmi lesquels Cochin et Soufflot.
Ce n’est qu’à son retour qu’il entreprend de gros chantiers qui feront sa renommée.
Même si le style est très fluide et le récit se déroule assez bien, je suis un peu déçue. Je l’ai trouvé très plaisant mais il me manque la petite étincelle qui m’aurait embarquée vers un monde fastueux.
Durant les ¾ du roman, l’auteur s’attache à nous narrer les relations entre le frère et la sœur, laquelle avait énormément d’ascendant sur lui.
Ce n’est qu’à la fin que l’auteur recentre son récit sur le marquis de Marigny. J’ai trouvé que c’était dommage.
En revanche, ce qui m’a plu, c’est de découvrir toutes les beautés que Marigny avait accompli dans Paris. On parle beaucoup de ce qu’a fait le Baron Haussmann mais Marigny n’a pas à rougir de ce qu’il a accompli non plus.
En conclusion, un roman sympathique mais sans aller jusqu’au coup de cœur.
Paris la belle
Avec ce livre, j’ai découvert un personnage de l’Histoire de France : le marquis de Marigny. Bon ok, là comme ça, même si le nom est familier, on ne voit pas trop de qui il s’agit. En fait, ce monsieur n’est autre que le frère de La Pompadour, favorite du roi Louis XV.
Abel François Poisson, de son vrai nom, va bénéficier de l’aura d’influence de sa sœur et se voit ainsi confier la charge de Directeur des Bâtiments du Roi.
Cette nomination n’est pas sans faire grincer des dents à la Cour mais Abel n’en a cure. Il est jeune et trouve qu’il a bien le temps de s’attarder sur ces médisances.
Pour former son esprit, il va partir en Italie, berceau de l’art européen, en prendre plein les yeux mais aussi et surtout se forger des amitiés durables avec ses compagnons de voyage parmi lesquels Cochin et Soufflot.
Ce n’est qu’à son retour qu’il entreprend de gros chantiers qui feront sa renommée.
Même si le style est très fluide et le récit se déroule assez bien, je suis un peu déçue. Je l’ai trouvé très plaisant mais il me manque la petite étincelle qui m’aurait embarquée vers un monde fastueux.
Durant les ¾ du roman, l’auteur s’attache à nous narrer les relations entre le frère et la sœur, laquelle avait énormément d’ascendant sur lui.
Ce n’est qu’à la fin que l’auteur recentre son récit sur le marquis de Marigny. J’ai trouvé que c’était dommage.
En revanche, ce qui m’a plu, c’est de découvrir toutes les beautés que Marigny avait accompli dans Paris. On parle beaucoup de ce qu’a fait le Baron Haussmann mais Marigny n’a pas à rougir de ce qu’il a accompli non plus.
En conclusion, un roman sympathique mais sans aller jusqu’au coup de cœur.