Les éditions Archipoche rééditent, rassemblées sous 4 volumes fabriqués avec soin les plus belles oeuvres de l'indémodable Colette (1873-1954), dont l'oeuvre a rejoint le domaine public en 2025. Trois essais singuliers aux profondes résonances autobiographiques, oeuvres de la grande maturité. Dans Le Pur et l'Impur , d'abord paru en 1932 sous le titre Ces plaisirs , Colette a librement mêlé des évocations de Renée Vivien, de Missy et de Marcel Proust, des esquisses d'une pièce sur Don Juan et des souvenirs intimes.
Ces variations sérieuses sur le thème des plaisirs, de la jalousie, du saphisme et de la séduction inaugurent dans l'oeuvre de Colette, qui déjà voit " le bout de la route ", le temps des souvenirs. Ils affluent, miraculeux mais à leur pas, dans L'Etoile Vesper (1946), qui offre une chronique de sa vie immobile dans sa chambre du Palais-Royal. Elle livrera dans Le Fanal bleu (1949), son dernier livre, d'autres fragments de mémoire et d'émouvants portraits de Jean Cocteau, Léon-Paul Fargue ou Marguerite Moreno.
Les éditions Archipoche rééditent, rassemblées sous 4 volumes fabriqués avec soin les plus belles oeuvres de l'indémodable Colette (1873-1954), dont l'oeuvre a rejoint le domaine public en 2025. Trois essais singuliers aux profondes résonances autobiographiques, oeuvres de la grande maturité. Dans Le Pur et l'Impur , d'abord paru en 1932 sous le titre Ces plaisirs , Colette a librement mêlé des évocations de Renée Vivien, de Missy et de Marcel Proust, des esquisses d'une pièce sur Don Juan et des souvenirs intimes.
Ces variations sérieuses sur le thème des plaisirs, de la jalousie, du saphisme et de la séduction inaugurent dans l'oeuvre de Colette, qui déjà voit " le bout de la route ", le temps des souvenirs. Ils affluent, miraculeux mais à leur pas, dans L'Etoile Vesper (1946), qui offre une chronique de sa vie immobile dans sa chambre du Palais-Royal. Elle livrera dans Le Fanal bleu (1949), son dernier livre, d'autres fragments de mémoire et d'émouvants portraits de Jean Cocteau, Léon-Paul Fargue ou Marguerite Moreno.