Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Conçue par les constituants de 1787 pour donner une unité exécutive fonctionnelle à une jeune République fragile, la présidence américaine est...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 1 octobre et le 2 octobre
En librairie
Résumé
Conçue par les constituants de 1787 pour donner une unité exécutive fonctionnelle à une jeune République fragile, la présidence américaine est aujourd'hui le siège de l'homme le plus puissant de la planète. Limitée dans son mode d'élection et dans ses pouvoirs, elle a pourtant accru son champ d'action au gré des crises intérieures et des menaces extérieures. Pour cela, elle a su se glisser dans les silences de la Constitution et réduire la résistance des contre-pouvoirs - Etats, Cour suprême et surtout Congrès. Elle est devenue plébiscitaire pour aller chercher sa légitimité directement dans le peuple, puis impériale quand l'efficacité a primé sur les équilibres constitutionnels. L'homme et la fonction se confondant, la présidence s'est réinventée avec chaque nouvel occupant de la Maison-Blanche. Vincent Michelot, spécialiste de politique américaine, raconte ici l'histoire d'une institution complexe et paradoxale, de sa création avec George Washington à la présidence moderne de Franklin Roosevelt, de la présidence impériale de Johnson et Nixon à l'hyperprésidence de George W. Bush.
Vincent Michelot, spécialiste de politique américaine, raconte ici l'histoire d'une institution complexe et paradoxale, de sa création avec George Washington à la présidence moderne de Franklin Roosevelt, de la présidence impériale de Johnson et Nixon à l'hyperprésidence de George W. Bush.