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A force qu'on lui demande s'il n'était pas l'auteur du Grand Meaulnes, Jean-Louis Fournier a commis l'irréparable, le sacrilège, inventer le Petit Meaulnes (même si page 11 du livre de poche, la figure du petit frère apparaît furtivement...) et, par son entremise, désacraliser le grand. Il lui donne vie, lui donne sa chance au petit frère. Sous forme de journal, on découvre sa vie, il est laid et perdu d'avance dans une compétition avec un grand frère qui contraste. Coup pour coup, œil pour œil, il ne nous épargne rien de cette étrange fratrie. ça balance aussi, vous saurez tout
sur la vraie vie, l'enfance de cette figure littéraire immense, le Grand Meaulnes, dixit son petit frère bien sur. Deux natures, deux caractères et au final un témoignage terre à terre et précieux, en négatif en quelque sorte. C'est un témoin privilégié des symptômes du romantisme et peut-être des conséquences de la fête au château... C'est bête mais c'est drôle et bien foutu, ça désacralise à mort mais avec en prime le Grand Meaulnes vieillissant et la liste de ce qu'il y avait dans sa tête MDR !
Jean-Louis Fournier est bien l'auteur du Petit Meaulnes...
A force qu'on lui demande s'il n'était pas l'auteur du Grand Meaulnes, Jean-Louis Fournier a commis l'irréparable, le sacrilège, inventer le Petit Meaulnes (même si page 11 du livre de poche, la figure du petit frère apparaît furtivement...) et, par son entremise, désacraliser le grand. Il lui donne vie, lui donne sa chance au petit frère. Sous forme de journal, on découvre sa vie, il est laid et perdu d'avance dans une compétition avec un grand frère qui contraste. Coup pour coup, œil pour œil, il ne nous épargne rien de cette étrange fratrie. ça balance aussi, vous saurez tout sur la vraie vie, l'enfance de cette figure littéraire immense, le Grand Meaulnes, dixit son petit frère bien sur. Deux natures, deux caractères et au final un témoignage terre à terre et précieux, en négatif en quelque sorte. C'est un témoin privilégié des symptômes du romantisme et peut-être des conséquences de la fête au château... C'est bête mais c'est drôle et bien foutu, ça désacralise à mort mais avec en prime le Grand Meaulnes vieillissant et la liste de ce qu'il y avait dans sa tête MDR !