Le Parti travailliste et les syndicats face aux questions monétaires européennes

Par : Carine Berbéri

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  • Nombre de pages324
  • PrésentationBroché
  • Poids0.44 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-7475-8992-7
  • EAN9782747589925
  • Date de parution01/07/2005
  • CollectionL'aire anglophone
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Depuis les années 1950, la Grande-Bretagne a souvent été considérée comme un partenaire difficile, " an awkward partner ", par ses partenaires européens en raison de son attitude peu coopérative et peu enthousiaste vis-à-vis des initiatives européennes, y compris des questions monétaires européennes. D'abord hostile, le mouvement travailliste tout entier adopta une ligne de conduite de plus en plus favorable à leur égard à partir de la fin des années 1980. Quelles raisons motivèrent cette évolution ? Dans quelle mesure le mouvement travailliste accepta-t-il cette conversion et fit-il preuve d'unité ? Afin de répondre à ces questions, cet ouvrage présente, tout d'abord, le contexte historique, c'est-à-dire le processus de construction de l'Union économique et monétaire, ainsi que la ligne de conduite originelle du mouvement travailliste envers ces initiatives avant 1979. Il se concentre ensuite sur le Parti travailliste afin de mettre en évidence son évolution progressive vis-à-vis du SME et de l'union monétaire et les considérations, essentiellement électorales, qui ont motivé sa conversion. Enfin, il étudie la ligne de conduite du mouvement syndical, à savoir celle du TUC et des cinq principaux syndicats britanniques - UNISON, le TGWU, MSF, l'AEEU et le GMB -, en insistant sur les motivations sociales qui ont incité les syndicats à adopter un point de vue plus favorable au SME et à l'union monétaire.
Depuis les années 1950, la Grande-Bretagne a souvent été considérée comme un partenaire difficile, " an awkward partner ", par ses partenaires européens en raison de son attitude peu coopérative et peu enthousiaste vis-à-vis des initiatives européennes, y compris des questions monétaires européennes. D'abord hostile, le mouvement travailliste tout entier adopta une ligne de conduite de plus en plus favorable à leur égard à partir de la fin des années 1980. Quelles raisons motivèrent cette évolution ? Dans quelle mesure le mouvement travailliste accepta-t-il cette conversion et fit-il preuve d'unité ? Afin de répondre à ces questions, cet ouvrage présente, tout d'abord, le contexte historique, c'est-à-dire le processus de construction de l'Union économique et monétaire, ainsi que la ligne de conduite originelle du mouvement travailliste envers ces initiatives avant 1979. Il se concentre ensuite sur le Parti travailliste afin de mettre en évidence son évolution progressive vis-à-vis du SME et de l'union monétaire et les considérations, essentiellement électorales, qui ont motivé sa conversion. Enfin, il étudie la ligne de conduite du mouvement syndical, à savoir celle du TUC et des cinq principaux syndicats britanniques - UNISON, le TGWU, MSF, l'AEEU et le GMB -, en insistant sur les motivations sociales qui ont incité les syndicats à adopter un point de vue plus favorable au SME et à l'union monétaire.
L'Europe en pièces
Carine Berbéri, Alexis Chommeloux
E-book
14,99 €