Le Parti travailliste et les syndicats face aux questions monétaires européennes
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages330
- FormatPDF
- ISBN2-296-40905-9
- EAN9782296409057
- Date de parution01/09/2005
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille15 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Depuis les années 1950, la Grande-Bretagne a souvent été considérée comme un partenaire difficile, " an awkward partner ", par ses partenaires européens en raison de son attitude peu coopérative et peu enthousiaste vis-à-vis des initiatives européennes, y compris des questions monétaires européennes. D'abord hostile, le mouvement travailliste tout entier adopta une ligne de conduite de plus en plus favorable à leur égard à partir de la fin des années 1980.
Quelles raisons motivèrent cette évolution ? Dans quelle mesure le mouvement travailliste accepta-t-il cette conversion et fit-il preuve d'unité ? Afin de répondre à ces questions, cet ouvrage présente, tout d'abord, le contexte historique, c'est-à-dire le processus de construction de l'Union économique et monétaire, ainsi que la ligne de conduite originelle du mouvement travailliste envers ces initiatives avant 1979.
Il se concentre ensuite sur le Parti travailliste afin de mettre en évidence son évolution progressive vis-à-vis du SME et de l'union monétaire et les considérations, essentiellement électorales, qui ont motivé sa conversion. Enfin, il étudie la ligne de conduite du mouvement syndical, à savoir celle du TUC et des cinq principaux syndicats britanniques - UNISON, le TGWU, MSF, l'AEEU et le GMB -, en insistant sur les motivations sociales qui ont incité les syndicats à adopter un point de vue plus favorable au SME et à l'union monétaire.
Quelles raisons motivèrent cette évolution ? Dans quelle mesure le mouvement travailliste accepta-t-il cette conversion et fit-il preuve d'unité ? Afin de répondre à ces questions, cet ouvrage présente, tout d'abord, le contexte historique, c'est-à-dire le processus de construction de l'Union économique et monétaire, ainsi que la ligne de conduite originelle du mouvement travailliste envers ces initiatives avant 1979.
Il se concentre ensuite sur le Parti travailliste afin de mettre en évidence son évolution progressive vis-à-vis du SME et de l'union monétaire et les considérations, essentiellement électorales, qui ont motivé sa conversion. Enfin, il étudie la ligne de conduite du mouvement syndical, à savoir celle du TUC et des cinq principaux syndicats britanniques - UNISON, le TGWU, MSF, l'AEEU et le GMB -, en insistant sur les motivations sociales qui ont incité les syndicats à adopter un point de vue plus favorable au SME et à l'union monétaire.
Depuis les années 1950, la Grande-Bretagne a souvent été considérée comme un partenaire difficile, " an awkward partner ", par ses partenaires européens en raison de son attitude peu coopérative et peu enthousiaste vis-à-vis des initiatives européennes, y compris des questions monétaires européennes. D'abord hostile, le mouvement travailliste tout entier adopta une ligne de conduite de plus en plus favorable à leur égard à partir de la fin des années 1980.
Quelles raisons motivèrent cette évolution ? Dans quelle mesure le mouvement travailliste accepta-t-il cette conversion et fit-il preuve d'unité ? Afin de répondre à ces questions, cet ouvrage présente, tout d'abord, le contexte historique, c'est-à-dire le processus de construction de l'Union économique et monétaire, ainsi que la ligne de conduite originelle du mouvement travailliste envers ces initiatives avant 1979.
Il se concentre ensuite sur le Parti travailliste afin de mettre en évidence son évolution progressive vis-à-vis du SME et de l'union monétaire et les considérations, essentiellement électorales, qui ont motivé sa conversion. Enfin, il étudie la ligne de conduite du mouvement syndical, à savoir celle du TUC et des cinq principaux syndicats britanniques - UNISON, le TGWU, MSF, l'AEEU et le GMB -, en insistant sur les motivations sociales qui ont incité les syndicats à adopter un point de vue plus favorable au SME et à l'union monétaire.
Quelles raisons motivèrent cette évolution ? Dans quelle mesure le mouvement travailliste accepta-t-il cette conversion et fit-il preuve d'unité ? Afin de répondre à ces questions, cet ouvrage présente, tout d'abord, le contexte historique, c'est-à-dire le processus de construction de l'Union économique et monétaire, ainsi que la ligne de conduite originelle du mouvement travailliste envers ces initiatives avant 1979.
Il se concentre ensuite sur le Parti travailliste afin de mettre en évidence son évolution progressive vis-à-vis du SME et de l'union monétaire et les considérations, essentiellement électorales, qui ont motivé sa conversion. Enfin, il étudie la ligne de conduite du mouvement syndical, à savoir celle du TUC et des cinq principaux syndicats britanniques - UNISON, le TGWU, MSF, l'AEEU et le GMB -, en insistant sur les motivations sociales qui ont incité les syndicats à adopter un point de vue plus favorable au SME et à l'union monétaire.