Voici une belle, déchirante réflexion sur le poids de la mémoire dans l'existence individuelle et collective, sur les usages de l'histoire, sa construction et sa manipulation officielles, et sur l'abîme qui sépare la mémoire concrète, vivante, de celle, ritualisée, artificielle, que l'État ne véhicule que pour sa seule survie.
Après Goya et les monstres de la raison, voici Sarid et le monstre de la mémoire, aussi dévorant, affreux, que ceux de l'Espagnol.
Voici une belle, déchirante réflexion sur le poids de la mémoire dans l'existence individuelle et collective, sur les usages de l'histoire, sa construction et sa manipulation officielles, et sur l'abîme qui sépare la mémoire concrète, vivante, de celle, ritualisée, artificielle, que l'État ne véhicule que pour sa seule survie.
Après Goya et les monstres de la raison, voici Sarid et le monstre de la mémoire, aussi dévorant, affreux, que ceux de l'Espagnol.