Le monachisme en Occident avant saint Benoît
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- Nombre de pages153
- PrésentationBroché
- Poids0.21 kg
- Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 1,2 cm
- ISBN2-85589-085-3
- EAN9782855890852
- Date de parution24/11/1998
- Collectionvie monastique
- ÉditeurAbbaye de Bellefontaine
Résumé
" Prendre saint Benoît pour terme d'une enquête sur les origines du monachisme, c'est se placer d'emblée dans une perspective occidentale, où l'on considère principalement, sinon exclusivement, la vie monastique d'expression latine. De fait, c'est de ce monde des moines latins que nous allons retracer les deux premiers siècles, depuis les " frères " d'au-delà des mers qui incitèrent Athanase à écrire sa Vie d'Antoine, jusqu'aux contemporains et compatriotes de Benoît, que Grégoire dépeint avec celui-ci dans ses Dialogues. "
Dans un style simple et précis, le Père Adalbert de Vogüé présente l'éventail des diverses formes de vie monastique en Occident, souvent ignorées, éclipsées qu'elles furent par la Règle de saint Benoît, qui deviendra quelques siècles plus tard l'unique règle des moines d'Occident. Au-delà des différences, les points saillants d'un portrait du moine se dégagent de toute ces expériences, avec des spécificités (places respectives de la vie solitaire et de la vie communautaire, importance du travail...), mais aussi beaucoup de réalités qui sont communes à tous les disciples du Christ : pauvreté, humilité, obéissance, prière, sans oublier le jeûne.
Les moines d'hier et d'aujourd'hui veulent vivre de ce charisme ainsi que, à leur manière, des laïcs de plus en plus nombreux.
" Avant tout, les frères auront la charité, l'humilité, la patience, la douceur, et les autres qualités qu'enseigne le saint Apôtre " (Seconde Règle des Pères, 5 ; SC 297, p. 275).
" Prendre saint Benoît pour terme d'une enquête sur les origines du monachisme, c'est se placer d'emblée dans une perspective occidentale, où l'on considère principalement, sinon exclusivement, la vie monastique d'expression latine. De fait, c'est de ce monde des moines latins que nous allons retracer les deux premiers siècles, depuis les " frères " d'au-delà des mers qui incitèrent Athanase à écrire sa Vie d'Antoine, jusqu'aux contemporains et compatriotes de Benoît, que Grégoire dépeint avec celui-ci dans ses Dialogues. "
Dans un style simple et précis, le Père Adalbert de Vogüé présente l'éventail des diverses formes de vie monastique en Occident, souvent ignorées, éclipsées qu'elles furent par la Règle de saint Benoît, qui deviendra quelques siècles plus tard l'unique règle des moines d'Occident. Au-delà des différences, les points saillants d'un portrait du moine se dégagent de toute ces expériences, avec des spécificités (places respectives de la vie solitaire et de la vie communautaire, importance du travail...), mais aussi beaucoup de réalités qui sont communes à tous les disciples du Christ : pauvreté, humilité, obéissance, prière, sans oublier le jeûne.
Les moines d'hier et d'aujourd'hui veulent vivre de ce charisme ainsi que, à leur manière, des laïcs de plus en plus nombreux.
" Avant tout, les frères auront la charité, l'humilité, la patience, la douceur, et les autres qualités qu'enseigne le saint Apôtre " (Seconde Règle des Pères, 5 ; SC 297, p. 275).