Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Dans ce " nouveau recueil " d'articles sur la Règle de saint Benoît, le troisième dans cette collection Vie monastique, le Père Adalbert de Vogüé...
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Livré chez vous entre le 27 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Dans ce " nouveau recueil " d'articles sur la Règle de saint Benoît, le troisième dans cette collection Vie monastique, le Père Adalbert de Vogüé fait plonger à nouveau le lecteur au cœur de ce célèbre texte du VIe siècle. La première partie de l'ouvrage présente les sources les plus anciennes de la Règle jusqu'aux premiers siècles de sa diffusion. La seconde en étudie des chapitres ou des passages particuliers : " instruments des bonnes œuvres ", psalmodie et prière, lecture, carême, réception des postulants... Dans les " questions controversées " de la troisième partie, l'auteur poursuit un dialogue, sans complaisance mais toujours fraternel, avec d'autres chercheurs. Au détour de ces études, toujours très précises, les réflexions spirituelles ne manquent pas.
" Si l'homme cherche Dieu, c'est que Dieu le cherche... Le Seigneur des Psaumes, qui est déjà le Christ, cherche son ouvrier et l'appelle ; le Seigneur de l'Evangile cherche sa brebis perdue et la charge sur ses épaules. C'est en réponse à cette quête divine que le moine cherche le royaume de Dieu, voire Dieu lui-même. " (page 362).
" La conversion du vouloir et du désir... ouvre au nouveau venu la perspective d'un progrès de la foi et de la vie religieuse qui fera éclater les resserrements du début et lui permettra de courir sur la voie des commandements de Dieu avec un cœur dilaté. L' " indicible douceur de la dilection "... s'apparente à la " joie du Saint-Esprit ", ou " joie du désir spirituel ". " (page 325).
Voie de sagesse pour les moines et les moniales qui ont choisi de vivre à l'école de saint Benoît, mais aussi pour ceux et celles qui veulent suivre le Christ dans la prière, l'humilité et la mort à soi-même pour " chercher vraiment Dieu ", et " courir jusqu'à ce que nous parvenions à notre Créateur ".