Le meilleur des jours

Par : Yassaman Montazami

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  • Nombre de pages138
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.188 kg
  • Dimensions14,0 cm × 18,2 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-84805-116-1
  • EAN9782848051161
  • Date de parution23/08/2012
  • ÉditeurSabine Wespieser Editeur

Résumé

Après la mort de son père, Yassaman Montazami se réfugie dans l’écriture pour tenter de garder vive la mémoire de ce personnage hors norme. La drôlerie et la cocasserie des souvenirs atténuent peu à peu l’immense chagrin causé par sa perte. Né avant terme, condamné puis miraculé, l’enfant adulé par sa mère, qui jamais ne lui refusa rien, fut nommé Behrouz – en persan : « le meilleur des jours » –, un prénom prédestiné pour un futur idéaliste épris de justice et un pitre incapable de prendre la vie au sérieux.
Envoyé en France pour y poursuivre des études qu’il n’achèvera jamais, il participe à sa manière aux événements révolutionnaires de 1979, au cours desquels l’Iran bascule de la monarchie à la République islamique, en faisant de son appartement parisien un refuge pour les Iraniens en exil. Leurs chassés-croisés entre Paris et Téhéran donnent à l’auteur l’occasion de brosser une multitude de personnages improbables et issus des milieux les plus divers : une épouse de colonel en fuite, fanatique d’Autant en emporte le vent, un poète libertin, mystique et interdit de publication, un révolutionnaire maoïste enfermé à la prison d’Evin, et même un ancien chef d’entreprise devenu opiomane.
Évocation d’un monde aujourd’hui disparu, ce premier roman frappe par sa maîtrise et par l’acuité de son trait.
Après la mort de son père, Yassaman Montazami se réfugie dans l’écriture pour tenter de garder vive la mémoire de ce personnage hors norme. La drôlerie et la cocasserie des souvenirs atténuent peu à peu l’immense chagrin causé par sa perte. Né avant terme, condamné puis miraculé, l’enfant adulé par sa mère, qui jamais ne lui refusa rien, fut nommé Behrouz – en persan : « le meilleur des jours » –, un prénom prédestiné pour un futur idéaliste épris de justice et un pitre incapable de prendre la vie au sérieux.
Envoyé en France pour y poursuivre des études qu’il n’achèvera jamais, il participe à sa manière aux événements révolutionnaires de 1979, au cours desquels l’Iran bascule de la monarchie à la République islamique, en faisant de son appartement parisien un refuge pour les Iraniens en exil. Leurs chassés-croisés entre Paris et Téhéran donnent à l’auteur l’occasion de brosser une multitude de personnages improbables et issus des milieux les plus divers : une épouse de colonel en fuite, fanatique d’Autant en emporte le vent, un poète libertin, mystique et interdit de publication, un révolutionnaire maoïste enfermé à la prison d’Evin, et même un ancien chef d’entreprise devenu opiomane.
Évocation d’un monde aujourd’hui disparu, ce premier roman frappe par sa maîtrise et par l’acuité de son trait.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.8/5
sur 12 notes dont 8 avis lecteurs
exil, famille, Iran
Roman ? Non, plutôt récit évoquant un papa hors norme, un personnage à lui tout seul. Car cet homme qui a consacré sa vie à Karl Marx est généreux, plein de vie et un brin farceur. Dans ces quelques pages, l'auteure nous parle de Behrouz toujours vivant et passionné, ne pouvant susciter que l'amour autour de lui. L'image que je retiendrai : Celle de Samanou lors de son premier jour d'école en France, ne comprenant pas la langue, croyant à une farce et qui ne peut dire au revoir à son père.
Roman ? Non, plutôt récit évoquant un papa hors norme, un personnage à lui tout seul. Car cet homme qui a consacré sa vie à Karl Marx est généreux, plein de vie et un brin farceur. Dans ces quelques pages, l'auteure nous parle de Behrouz toujours vivant et passionné, ne pouvant susciter que l'amour autour de lui. L'image que je retiendrai : Celle de Samanou lors de son premier jour d'école en France, ne comprenant pas la langue, croyant à une farce et qui ne peut dire au revoir à son père.
  • Drôle
  • Emouvant
Lumineux
Après la mort de son père, Samanou se met à écrire ses souvenirs de cet homme fantasque, venu de Téhéran en France avec femme et enfant pour y poursuivre ses études. Du bébé chétif qui ne devait pas vivre au jeune homme idéaliste féru de Karl Marx, du jeune père à l’éternel étudiant, le portrait de Behrouz, qui signifie en persan « Le meilleur des jours » est touchant et drôle à la fois. Ses parents, ses amis et relations, réfugiés politiques ou restés en Iran, tous ceux qui gravitent autour de Behrouz sont l’occasion de dresser des portraits qui ne manquent jamais de saveur. Dans ce court roman, le ton est toujours très juste. Les anecdotes nombreuses et racontées de façon agréable éclairent les personnalités des membres de la famille de Samanou, et font naître l’émotion au détour d’une phrase, délicatement. Ce premier roman est une jolie découverte, que l’on s’intéresse au passé tout récent de l’Iran, ou simplement que l’on aime lire des histoires de famille lumineuses et fines.
Après la mort de son père, Samanou se met à écrire ses souvenirs de cet homme fantasque, venu de Téhéran en France avec femme et enfant pour y poursuivre ses études. Du bébé chétif qui ne devait pas vivre au jeune homme idéaliste féru de Karl Marx, du jeune père à l’éternel étudiant, le portrait de Behrouz, qui signifie en persan « Le meilleur des jours » est touchant et drôle à la fois. Ses parents, ses amis et relations, réfugiés politiques ou restés en Iran, tous ceux qui gravitent autour de Behrouz sont l’occasion de dresser des portraits qui ne manquent jamais de saveur. Dans ce court roman, le ton est toujours très juste. Les anecdotes nombreuses et racontées de façon agréable éclairent les personnalités des membres de la famille de Samanou, et font naître l’émotion au détour d’une phrase, délicatement. Ce premier roman est une jolie découverte, que l’on s’intéresse au passé tout récent de l’Iran, ou simplement que l’on aime lire des histoires de famille lumineuses et fines.
Le meilleur des jours : sympathique...
Un style agréable et facile à lire. Une histoire sympathique mais sans plus : l'auteur dépeint un père atypique avec le regard de l'enfant qu'elle a été. Cependant je suis restée sur ma faim, le roman m'a semblé manqué de consistance. Néanmoins, je recommande sa lecture.
Un style agréable et facile à lire. Une histoire sympathique mais sans plus : l'auteur dépeint un père atypique avec le regard de l'enfant qu'elle a été. Cependant je suis restée sur ma faim, le roman m'a semblé manqué de consistance. Néanmoins, je recommande sa lecture.
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