Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Pourquoi la cuisine, simple activité ménagère jadis, est-elle considérée aujourd'hui comme un des Beaux-Arts ?
Pourquoi les restaurants " Trois...
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Pourquoi la cuisine, simple activité ménagère jadis, est-elle considérée aujourd'hui comme un des Beaux-Arts ?
Pourquoi les restaurants " Trois Etoiles " sont-ils devenus ces hauts lieux de la gastronomie, où tant de gens rêvent d'aller au moins une fois dans leur vie ?
Pourquoi les chefs sont-ils connus dans le monde entier ?
C'est ce que nous fait comprendre Michel Gall, en nous racontant la vie du premier, du plus grand et du plus célèbre d'entre eux au XXe siècle, Auguste Escoffier.
Un des trois Français les plus connus des Etats-Unis, avec Jeanne d'Arc et Lafayette.
Fils d'un modeste maréchal-ferrant du comté de Nice, Escoffier a été le chef du Grand Hôtel de Monaco, du Ritz de Paris, du Savoy, puis du Carlton de Londres. Il a eu pour clients - et parfois pour amis - toutes les gloires de son époque. Il est mort couvert d'honneurs, en 1935, à 89 ans.
Ecrivain lui-même, mari d'une poétesse, il disait : " Un menu est avant tout un poème. " Son apport à la cuisine moderne est considérable. Il a créé des milliers de plats, dont la fameuse " Pêche Melba ", dédiée à la meilleure cantatrice de son temps.
Sa vie ne se limite toutefois pas aux seuls fourneaux. Son amitié avec César Ritz - pour le meilleur et pour le pire -, leurs aventures qui les ont conduits à Monaco, à Lucerne, à Rome, à New York, au Savoy et au Carlton de Londres, enfin au Ritz de Paris, constituent un véritable roman.
Il avait fait sienne la devise de Brillat-Savarin : " La découverte d'un mets nouveau fait plus pour le genre humain que la découverte d'une étoile. "