Le livre sans titre. Les conséquences fatales de la masturbation

Par : Alexandre Wenger

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  • Nombre de pages140
  • PrésentationBroché
  • Poids0.183 kg
  • Dimensions12,9 cm × 20,3 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-84137-262-1
  • EAN9782841372621
  • Date de parution25/03/2011
  • CollectionMémoires du corps
  • ÉditeurMillon

Résumé

Lorsqu'on trouve un "Livre sans titre" dans le fonds ancien d'une bibliothèque, on se dépêche de l'ouvrir. Un tel titre - car c'en est un - aiguise la curiosité. Le voile demande à être levé. Quel terrible secret, quelle compromettante vérité, quelles peintures immorales peut-il bien chercher à recouvrir ? Le truc est ancien et la littérature licencieuse ne s'est pas privée d'y recourir : dresser un paravent invite à passer outre et à regarder qui se déshabille de l'autre côté. D'emblée, notre imagination joue avec l'obstacle, reconstitue ce qui est dissimulé, et l'on se délecte d'avance du divertissement promis. C'est là toute l'ambiguïté de ce livre. Car ce livre parle de ça. De ce crime abominable connu pour être "le mal" ou "le vice" dans l'absolu, de ces habitudes "funestes" ou "solitaires", ces "excès" honteux, cet "espèce de suicide", cet "acte contre nature", ce "flétrissement de soi", ce "vice qui nous tue". Or, ça, c'est la masturbation.
Lorsqu'on trouve un "Livre sans titre" dans le fonds ancien d'une bibliothèque, on se dépêche de l'ouvrir. Un tel titre - car c'en est un - aiguise la curiosité. Le voile demande à être levé. Quel terrible secret, quelle compromettante vérité, quelles peintures immorales peut-il bien chercher à recouvrir ? Le truc est ancien et la littérature licencieuse ne s'est pas privée d'y recourir : dresser un paravent invite à passer outre et à regarder qui se déshabille de l'autre côté. D'emblée, notre imagination joue avec l'obstacle, reconstitue ce qui est dissimulé, et l'on se délecte d'avance du divertissement promis. C'est là toute l'ambiguïté de ce livre. Car ce livre parle de ça. De ce crime abominable connu pour être "le mal" ou "le vice" dans l'absolu, de ces habitudes "funestes" ou "solitaires", ces "excès" honteux, cet "espèce de suicide", cet "acte contre nature", ce "flétrissement de soi", ce "vice qui nous tue". Or, ça, c'est la masturbation.