Ali Ahmad Saïd Esber, d'origine rurale, est né le 1er janvier 1930 dans le village de Kassabine, en Syrie. Il prend à vingt ans le pseudonyme d'Adonis, lit Baudelaire, Rilke et, plus tard, Michaux, Char. Il choisit la nationalité libanaise en 1962. Sa poésie exprime les déchirements et les espoirs de la culture arabe contemporaine. Adonis vit à Paris depuis 1986.
Le livre III (al-Kitâb). Hier Le lieu Aujourd'hui
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- Nombre de pages363
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.548 kg
- Dimensions19,0 cm × 22,0 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-02-124135-8
- EAN9782021241358
- Date de parution05/11/2015
- ÉditeurSeuil
- TraducteurHouria Abdelouahed
Résumé
Al-Kitâb peut se lire comme un voyage épique à travers l'Histoire des Arabes et comme une manière de lire poétiquement cette Histoire. Une Histoire traversée par une violence inouïe et une cruauté insatiable, celle des monarques à l'encontre de leurs sujets, depuis l'instauration du califat. Cette violence reste, dans le monde arabe, indissolublement liée à la dimension du sacré. Questionner, penser, réfléchir...
c'est se heurter à la question du sacré. Comment le lire ? Par quoi commencer ? Comment suivre le cheminement du poète qui suit son guide al-Mutanabbî à l'instar de Dante suivant Virgile ? "Ô poésie ! Comment élèves-tu ta demeure sur cette terre ? D'où l'air arrive-t-il à tes poumons alors que l'horizon est une bouche cousue, bâillonnée par le ciel ?" Après le récit du narrateur (dans le 1er volume) et la traversée les villes macabres (dans le 2e volume), l'odyssée se termine ainsi : "Cendres - Toutefois Je sens à présent que j'ai besoin de chanter Mon corps est une rose.
Parfum est mon esprit." Besoin de chanter. Le mystique athée qui a choisi de s'appeler Adonis convoque une fois de plus Orphée, le héros grec, pour chanter dans sa langue-mère, sa compagne de toujours.
c'est se heurter à la question du sacré. Comment le lire ? Par quoi commencer ? Comment suivre le cheminement du poète qui suit son guide al-Mutanabbî à l'instar de Dante suivant Virgile ? "Ô poésie ! Comment élèves-tu ta demeure sur cette terre ? D'où l'air arrive-t-il à tes poumons alors que l'horizon est une bouche cousue, bâillonnée par le ciel ?" Après le récit du narrateur (dans le 1er volume) et la traversée les villes macabres (dans le 2e volume), l'odyssée se termine ainsi : "Cendres - Toutefois Je sens à présent que j'ai besoin de chanter Mon corps est une rose.
Parfum est mon esprit." Besoin de chanter. Le mystique athée qui a choisi de s'appeler Adonis convoque une fois de plus Orphée, le héros grec, pour chanter dans sa langue-mère, sa compagne de toujours.
Al-Kitâb peut se lire comme un voyage épique à travers l'Histoire des Arabes et comme une manière de lire poétiquement cette Histoire. Une Histoire traversée par une violence inouïe et une cruauté insatiable, celle des monarques à l'encontre de leurs sujets, depuis l'instauration du califat. Cette violence reste, dans le monde arabe, indissolublement liée à la dimension du sacré. Questionner, penser, réfléchir...
c'est se heurter à la question du sacré. Comment le lire ? Par quoi commencer ? Comment suivre le cheminement du poète qui suit son guide al-Mutanabbî à l'instar de Dante suivant Virgile ? "Ô poésie ! Comment élèves-tu ta demeure sur cette terre ? D'où l'air arrive-t-il à tes poumons alors que l'horizon est une bouche cousue, bâillonnée par le ciel ?" Après le récit du narrateur (dans le 1er volume) et la traversée les villes macabres (dans le 2e volume), l'odyssée se termine ainsi : "Cendres - Toutefois Je sens à présent que j'ai besoin de chanter Mon corps est une rose.
Parfum est mon esprit." Besoin de chanter. Le mystique athée qui a choisi de s'appeler Adonis convoque une fois de plus Orphée, le héros grec, pour chanter dans sa langue-mère, sa compagne de toujours.
c'est se heurter à la question du sacré. Comment le lire ? Par quoi commencer ? Comment suivre le cheminement du poète qui suit son guide al-Mutanabbî à l'instar de Dante suivant Virgile ? "Ô poésie ! Comment élèves-tu ta demeure sur cette terre ? D'où l'air arrive-t-il à tes poumons alors que l'horizon est une bouche cousue, bâillonnée par le ciel ?" Après le récit du narrateur (dans le 1er volume) et la traversée les villes macabres (dans le 2e volume), l'odyssée se termine ainsi : "Cendres - Toutefois Je sens à présent que j'ai besoin de chanter Mon corps est une rose.
Parfum est mon esprit." Besoin de chanter. Le mystique athée qui a choisi de s'appeler Adonis convoque une fois de plus Orphée, le héros grec, pour chanter dans sa langue-mère, sa compagne de toujours.