Le langage de la raison. De Descartes à La linguistique cartésienne
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- Nombre de pages288
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.235 kg
- Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-7116-3085-1
- EAN9782711630851
- Date de parution23/02/2023
- CollectionProblèmes de la raison
- ÉditeurVrin
Résumé
Descartes aborde la question du langage quand il réfléchit sur la différence anthropologique et il l'articule à des recherches sur le statut des idées. La pensée, qu'ignorent les animaux, est la raison du langage et l'inventivité dont la parole est le lieu doit être analysée sur le plan discursif, voire dans une logique. Ces éléments, dispersés dans le corpus cartésien, ont une importance telle que Chomsky reconstitue une véritable linguistique cartésienne.
Sur cette base, on peut aborder l'homme cartésien comme un vivant qui pense le monde et dit ce qu'il pense, face aux autres et avec eux. L'expression de la pensée ne se ramène donc pas à une opération mentale de la subjectivité.
Sur cette base, on peut aborder l'homme cartésien comme un vivant qui pense le monde et dit ce qu'il pense, face aux autres et avec eux. L'expression de la pensée ne se ramène donc pas à une opération mentale de la subjectivité.
Descartes aborde la question du langage quand il réfléchit sur la différence anthropologique et il l'articule à des recherches sur le statut des idées. La pensée, qu'ignorent les animaux, est la raison du langage et l'inventivité dont la parole est le lieu doit être analysée sur le plan discursif, voire dans une logique. Ces éléments, dispersés dans le corpus cartésien, ont une importance telle que Chomsky reconstitue une véritable linguistique cartésienne.
Sur cette base, on peut aborder l'homme cartésien comme un vivant qui pense le monde et dit ce qu'il pense, face aux autres et avec eux. L'expression de la pensée ne se ramène donc pas à une opération mentale de la subjectivité.
Sur cette base, on peut aborder l'homme cartésien comme un vivant qui pense le monde et dit ce qu'il pense, face aux autres et avec eux. L'expression de la pensée ne se ramène donc pas à une opération mentale de la subjectivité.