Le Krach de la Banque industrielle de Chine (1912-1928). La rivalité des banques françaises en Extrême-Orient (1912-1928)

Par : Patrice Morlat

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  • Nombre de pages271
  • PrésentationBroché
  • Poids0.423 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,6 cm
  • ISBN978-2-84654-295-1
  • EAN9782846542951
  • Date de parution28/02/2013
  • ÉditeurIndes savantes (Les)

Résumé

Le krach de la Banque Industrielle de Chine en 1921 est l'occasion pour l'auteur d'exposer les montages financiers imaginés par les groupes bancaires occidentaux pour exploiter les ressources de l'Extrême-Orient. Mais ces alliances de banquiers et d'industriels vont également exporter en Asie leurs rivalités et leurs affrontements sans pitié. La Chine et l'Indochine (française) sont les scènes de ces combats, bien que les protagonistes majeurs soient en Europe, dans les sièges des grandes banques et des institutions financières.
Les relations de ces dernières avec le pouvoir politique sont toujours étroitement imbriquées dans ce jeu qui intéresse au plus haut point la diplomatie française en Asie. Cet ouvrage est l'indispensable complément de la quadrilogie que Patrice Morlat est en train de compléter (Indochine années vingt). Il éclaire également de manière très neuve les pratiques capitalistes en Chine à l'époque.
Le krach de la Banque Industrielle de Chine en 1921 est l'occasion pour l'auteur d'exposer les montages financiers imaginés par les groupes bancaires occidentaux pour exploiter les ressources de l'Extrême-Orient. Mais ces alliances de banquiers et d'industriels vont également exporter en Asie leurs rivalités et leurs affrontements sans pitié. La Chine et l'Indochine (française) sont les scènes de ces combats, bien que les protagonistes majeurs soient en Europe, dans les sièges des grandes banques et des institutions financières.
Les relations de ces dernières avec le pouvoir politique sont toujours étroitement imbriquées dans ce jeu qui intéresse au plus haut point la diplomatie française en Asie. Cet ouvrage est l'indispensable complément de la quadrilogie que Patrice Morlat est en train de compléter (Indochine années vingt). Il éclaire également de manière très neuve les pratiques capitalistes en Chine à l'époque.