Coup de coeur

Le journal de mon père

Par : Jirô Taniguchi
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  • Nombre de pages274
  • PrésentationRelié
  • Poids0.755 kg
  • Dimensions17,5 cm × 24,0 cm × 3,0 cm
  • ISBN978-2-203-00338-5
  • EAN9782203003385
  • Date de parution27/11/2007
  • ÉditeurCasterman

Résumé

De retour dans sa ville natale pour les obsèques de son père, Yoichi se remémore son enfance. Dans ce récit intimiste, Taniguchi nous restitue toute la profondeur des sentiments et des émotions d'un homme qui plonge dans ses souvenirs. C'est avec beaucoup de finesse et de pudeur que l'auteur de Quartier lointain nous convie à cette magnifique introspection.
De retour dans sa ville natale pour les obsèques de son père, Yoichi se remémore son enfance. Dans ce récit intimiste, Taniguchi nous restitue toute la profondeur des sentiments et des émotions d'un homme qui plonge dans ses souvenirs. C'est avec beaucoup de finesse et de pudeur que l'auteur de Quartier lointain nous convie à cette magnifique introspection.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.4/5
sur 12 notes dont 1 avis lecteur
5/5
Taniguchi nous prouve une fois de plus que le manga est un art
Le journal de mon père est un titre tout particulier pour moi car ce manga a bercé et berce encore ma vie. J'ai dû lire ce titre une bonne dizaine de fois, si ce n'est plus, toujours avec le même engouement, et évidemment toujours autant de mouchoirs usités. À chacune de mes lectures, ma compréhension de ce chef-d'œuvre se peaufine. En effet, au fil des années mon regard se modifie, je l'ai découvert adolescent, je l'ai (re)lu adulte, puis (rererere)lu une fois père de famille, et à nouveau (rererererere)lu trentenaire. Je suis un peu comme le héros de ce manga, la vie m'offre la sagesse de comprendre mes aînés. Tout comme lui je peux enfin comprendre la vie de mes parents, leurs choix cornéliens, le bonheur de nos enfants ne se fait pas toujours avec simplicité, il faut savoir endosser le rôle du père-fouettard. Pourquoi une chronique? Exposer ce titre au plus grand monde? Peut-être il est vrai, mais c'est avant tout pour extérioriser mon ressenti, mes larmes qui ne cessent de couler à chacune de mes lectures. Le journal de mon père ne doit être catalogué comme un simple manga, il est bien plus que cela. Ce titre est avant tout un pur moment de lecture, c'est de la grande littérature. Taniguchi arrive à donner vie à son intrigue, ainsi qu'à ses personnages, grâce à son coup de crayon qui lui est propre, simple et détaillé à la fois. Rarement un auteur ne m'a donné autant d'émotions au fil de mes lectures, pourtant j'en ai tourné des pages en comptant les manga, les BD et les romans. Retranscrire l'expérience suite aux lectures des œuvres de Taniguchi par de simples mots est très compliqué, voire quasi-impossible car cet auteur sait nous toucher en plein cœur, le tout sans artifice. Taniguchi ne ment pas, il se livre entièrement à son lecteur, il ne raconte pas une histoire, il nous la fait vivre. Cette chronique n'est évidemment pas à la hauteur du magnifique Le journal de mon père, mais elle m'aura au moins permis d'y poser mes mots. Si elle vous donne envie de découvrir cet auteur j'en serai honoré, sachez qu'il n'y a pas plus bel ambassadeur du manga que Taniguchi.
Le journal de mon père est un titre tout particulier pour moi car ce manga a bercé et berce encore ma vie. J'ai dû lire ce titre une bonne dizaine de fois, si ce n'est plus, toujours avec le même engouement, et évidemment toujours autant de mouchoirs usités. À chacune de mes lectures, ma compréhension de ce chef-d'œuvre se peaufine. En effet, au fil des années mon regard se modifie, je l'ai découvert adolescent, je l'ai (re)lu adulte, puis (rererere)lu une fois père de famille, et à nouveau (rererererere)lu trentenaire. Je suis un peu comme le héros de ce manga, la vie m'offre la sagesse de comprendre mes aînés. Tout comme lui je peux enfin comprendre la vie de mes parents, leurs choix cornéliens, le bonheur de nos enfants ne se fait pas toujours avec simplicité, il faut savoir endosser le rôle du père-fouettard. Pourquoi une chronique? Exposer ce titre au plus grand monde? Peut-être il est vrai, mais c'est avant tout pour extérioriser mon ressenti, mes larmes qui ne cessent de couler à chacune de mes lectures. Le journal de mon père ne doit être catalogué comme un simple manga, il est bien plus que cela. Ce titre est avant tout un pur moment de lecture, c'est de la grande littérature. Taniguchi arrive à donner vie à son intrigue, ainsi qu'à ses personnages, grâce à son coup de crayon qui lui est propre, simple et détaillé à la fois. Rarement un auteur ne m'a donné autant d'émotions au fil de mes lectures, pourtant j'en ai tourné des pages en comptant les manga, les BD et les romans. Retranscrire l'expérience suite aux lectures des œuvres de Taniguchi par de simples mots est très compliqué, voire quasi-impossible car cet auteur sait nous toucher en plein cœur, le tout sans artifice. Taniguchi ne ment pas, il se livre entièrement à son lecteur, il ne raconte pas une histoire, il nous la fait vivre. Cette chronique n'est évidemment pas à la hauteur du magnifique Le journal de mon père, mais elle m'aura au moins permis d'y poser mes mots. Si elle vous donne envie de découvrir cet auteur j'en serai honoré, sachez qu'il n'y a pas plus bel ambassadeur du manga que Taniguchi.
Jirô Taniguchi
Jiro Taniguchi, né le 14 août 1947 au Japon est un auteur de mangas connu dans le monde entier. Enfant il passe beaucoup de temps à lire et dessiner et décide de devenir auteur de mangas en 1969. Il s'installe alors à Tokyo, devient l'assistant d'Ishikawa, puis de Kamimura, et publie sa première BD, "Kareta Heya". A la même époque, il découvre la bande-dessinée européenne, alors peu connue au Japon et qui va profondément l'influencer. Dans les années 1980, il décide de prendre son indépendance ; il s'associe à deux scénaristes, Sekikawa et Marley, et commence à publier des mangas policiers ou historiques, tel "Au temps de Botchan", publié en France en 2002 par les éditions du Seuil, dont l'action se situe dans le Japon de l'ère Meiji. A partir des années 1990 il puise son inspiration dans l'observation de la nature, des animaux, mais aussi des êtres humains et de leurs relations, comme dans "Quartier lointain (2003) qui sera adapté au cinéma en 2010, "L'orme du Caucase" et "Le sommet des dieux" en 2004,"Terre de rêves" en 2005, "Le sauveteur" ou "La montagne magique" en 2007. Très apprécié en France il a été récompensé à deux reprises au festival d'Angoulême et a été élevé au grade de Chevalier de l'Ordre des Arts et des Lettres en 2011.
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