Coup de coeur
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  • Nombre de pages185
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.12 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-7436-4590-8
  • EAN9782743645908
  • Date de parution02/01/2019
  • CollectionRivages poche
  • ÉditeurRivages

Résumé

Installée dans un refuge high-tech accroché à une paroi d'un massif montagneux, une femme s'isole de ses semblables pour tenter de répondre à une question simple : comment vivre ? Outre la solitude, elle s'impose un entraînement physique et spirituel intense, où longues marches, activités de survie, slackline et musique vont de pair avec la rédaction d'un journal de bord. Mais la présence d'une ermite surgie de la roche et du vent, sur ces montagnes désolées, bouleversera ses plans et changera ses résolutions.
Avec son style acéré, Céline Minard nous offre un texte magistral sur les jeux et les enjeux d'une solitude volontaire confrontée à l'épreuve des éléments.
Installée dans un refuge high-tech accroché à une paroi d'un massif montagneux, une femme s'isole de ses semblables pour tenter de répondre à une question simple : comment vivre ? Outre la solitude, elle s'impose un entraînement physique et spirituel intense, où longues marches, activités de survie, slackline et musique vont de pair avec la rédaction d'un journal de bord. Mais la présence d'une ermite surgie de la roche et du vent, sur ces montagnes désolées, bouleversera ses plans et changera ses résolutions.
Avec son style acéré, Céline Minard nous offre un texte magistral sur les jeux et les enjeux d'une solitude volontaire confrontée à l'épreuve des éléments.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

3 Coups de cœur
de nos libraires
Mathieu LartaudDecitre Grenoble
4/5
Sur le fil....
Seul depuis ce refuge Il y a...Cette nature, cette montagne, magnifiées par la beauté des mots.. Ces lignes qui parcourent l'horizon,le temps, cette vire,et les falaises, mais aussi la vie...Des lignes qui nous invitent au vertige. A travers la voix de cette jeune femme Céline Minard nous immisce, magistralement au plus profond de son isolement (...ou presque), de son expérience existentielle des plus extrême. Tous les sens sont convoqués, elle nous bouscule et nous transporte sur les rives de ses propres limites, et de sa relation aux autres. La plume est rythmée, précise et acérée, parfois poétique et l'on se laisse entraîner avec un immense plaisir et quelques remous, sur ce fil en équilibre... Un régal d'écriture!!!
Seul depuis ce refuge Il y a...Cette nature, cette montagne, magnifiées par la beauté des mots.. Ces lignes qui parcourent l'horizon,le temps, cette vire,et les falaises, mais aussi la vie...Des lignes qui nous invitent au vertige. A travers la voix de cette jeune femme Céline Minard nous immisce, magistralement au plus profond de son isolement (...ou presque), de son expérience existentielle des plus extrême. Tous les sens sont convoqués, elle nous bouscule et nous transporte sur les rives de ses propres limites, et de sa relation aux autres. La plume est rythmée, précise et acérée, parfois poétique et l'on se laisse entraîner avec un immense plaisir et quelques remous, sur ce fil en équilibre... Un régal d'écriture!!!
Charlotte WnDecitre Levallois-Perret
4/5
ISOLEMENT ET REFLEXION
Une femme s'isole en montagne et tient le journal de sa vie d'ermite : exploration des alentours, culture de son jardin, déchaînement de la nature et questionnements sur la nature humaine. L'arrivée d'une vieille "nonne" vient bouleverser son quotidien et remettre en cause son projet. L'écriture à la fois poétique, épique, philosophique de Céline Minard font de ce "simple" récit un grand roman.
Une femme s'isole en montagne et tient le journal de sa vie d'ermite : exploration des alentours, culture de son jardin, déchaînement de la nature et questionnements sur la nature humaine. L'arrivée d'une vieille "nonne" vient bouleverser son quotidien et remettre en cause son projet. L'écriture à la fois poétique, épique, philosophique de Céline Minard font de ce "simple" récit un grand roman.
  • Montagne
  • survie
  • philosophie
  • sociologie
Sylvie ThomassonDecitre Part-Dieu
4/5
errance
Texte surprenant, à la fois poétique, philosophique voire sociologique;Une jeune femme s'isole en montagne, non sans avoir fait un installer un abri high-tech et mis en place tout un environnement afin de demeurer là en ermite. Autarcie et escalade sont au programme. S'isoler pour mieux se retrouver, prendre la mesure de soi-même de ses limites, mais surprise ! Elle n'est pas seule dans la montagne.Un grand roman qui va faire parler à la rentrée!
Texte surprenant, à la fois poétique, philosophique voire sociologique;Une jeune femme s'isole en montagne, non sans avoir fait un installer un abri high-tech et mis en place tout un environnement afin de demeurer là en ermite. Autarcie et escalade sont au programme. S'isoler pour mieux se retrouver, prendre la mesure de soi-même de ses limites, mais surprise ! Elle n'est pas seule dans la montagne.Un grand roman qui va faire parler à la rentrée!

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.5/5
sur 4 notes dont 4 avis lecteurs
Décroché
La vie d’hermite en montagne, voilà un beau sujet. Les détails de cette expérience sont retranscrits avec précision; sauf que c’est un roman dans un endroit inconnu avec une personne dont on ne connaît rien. Dans ce contexte, difficile de prendre ce vécu comme référence ou de s’immerger. Concernant le second volet de ce livre sur les questionnements philosophique, çà reste à mon avis des sujets qui ne sont qu’effleurés. D’un autre côté, c’est une manière d’écrire originale qui laisse beaucoup de place à ses propres réflexions et l’esprit qui divague...
La vie d’hermite en montagne, voilà un beau sujet. Les détails de cette expérience sont retranscrits avec précision; sauf que c’est un roman dans un endroit inconnu avec une personne dont on ne connaît rien. Dans ce contexte, difficile de prendre ce vécu comme référence ou de s’immerger. Concernant le second volet de ce livre sur les questionnements philosophique, çà reste à mon avis des sujets qui ne sont qu’effleurés. D’un autre côté, c’est une manière d’écrire originale qui laisse beaucoup de place à ses propres réflexions et l’esprit qui divague...
RECOMMANDÉ PAR LE SITE CULTURE-CHRONIQUE
Céline Minard est une exploratrice, une voyageuse au long cours et finalement un écrivain exigeant qui force les voies littéraires les plus difficiles. La littérature comme une course de montagne ou chaque pas peut vous envoyer mille mètres plus bas. Elle est comme ça Céline Minard, imprévisible et exigeante, ascète littéraire qui a fait de la langue à la fois son microscope et son scalpel. Aucun des roman de cette écrivaine passionnée par l’enjeu de la phrase ne ressemble à ceux qu’elle a écrit auparavant, chaque fois c’est une nouvelle aventure où l’on retrouve l’ambition de cartographier une terre inconnue en commençant par l’arpenter de long en large pour en mesurer chaque aspérité, chaque excavation, chaque inclinaison. Céline Minard est une samouraï de la littérature, un seul coup de sabre suffit, inutile d’y revenir. Cette auteure prolifique nous a déjà gratifié d’une oeuvre riche et inspirée, “Le dernier monde” et son univers post-apocalyptique, l’exploration du western avec “Faillir être flingué” et celle du moyen-âge de “Bastard Battle” ou encore le testament d’une écrivaine dans “So long, Luise” . Et chaque fois c’est du verbe que surgissent les personnages comme dans “Le grand jeu” , cet exercice de solitude que s’impose une femme en se retirant sur une montagne qu’elle vient d’acquérir et dont le sommet culmine à 2871 mètres. Le personnage principal - et presque le seul du roman -s’impose une solitude volontaire où la modernité ne tient qu’au lieu où elle vit. Une coque faite d’un assemblage de résine, de fibre de verre et de PVC haute densité. Une porte, trois hublots latéraux et un oeil-de-boeuf panoramique qui donne sur la vallée et pour l’énergie, des panneaux photovoltaïques. Une bibliothèque, une couchette, une table et une plaque de cuisson. Pour le reste il faut se débrouiller, planter des légumes, les récolter, pêcher des truites…. Et puis il y a ces marches interminables à travers cet immense domaine montagneux, seule, retirée du monde. Le personnage vit cette nouvelle existence à travers les actions qu’elle mène pour assurer sa survie. Parfois des questions l’assaillent et traversent le texte comme des comètes sans jamais déboucher sur quoi que ce soit d’autre. Pas de sensualité non plus, on est beaucoup plus proche d’une chronique d’alpiniste solitaire que de la retraite de Walden. Le texte aurait pu rapidement s’enfermer dans ce huis clos un peu stérile mais Celine va infléchir le récit à partir d’une rencontre aussi surprenante qu’improbable. Comme l’écrit Minard “La montagne n’a pas de bon sens. Elle n’est pas vivable. Elle me rappelle quotidiennement que ce monde n’est pas le mien.” Le texte décrit avec beaucoup de réalisme cette greffe humaine en milieu hostile, réflexion presque philosophique qui échappe aux standards habituels du “nature writing” et parvient finalement à se régénérer dans le surgissement d’une autre solitude. Archibald PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE.COM)
Céline Minard est une exploratrice, une voyageuse au long cours et finalement un écrivain exigeant qui force les voies littéraires les plus difficiles. La littérature comme une course de montagne ou chaque pas peut vous envoyer mille mètres plus bas. Elle est comme ça Céline Minard, imprévisible et exigeante, ascète littéraire qui a fait de la langue à la fois son microscope et son scalpel. Aucun des roman de cette écrivaine passionnée par l’enjeu de la phrase ne ressemble à ceux qu’elle a écrit auparavant, chaque fois c’est une nouvelle aventure où l’on retrouve l’ambition de cartographier une terre inconnue en commençant par l’arpenter de long en large pour en mesurer chaque aspérité, chaque excavation, chaque inclinaison. Céline Minard est une samouraï de la littérature, un seul coup de sabre suffit, inutile d’y revenir. Cette auteure prolifique nous a déjà gratifié d’une oeuvre riche et inspirée, “Le dernier monde” et son univers post-apocalyptique, l’exploration du western avec “Faillir être flingué” et celle du moyen-âge de “Bastard Battle” ou encore le testament d’une écrivaine dans “So long, Luise” . Et chaque fois c’est du verbe que surgissent les personnages comme dans “Le grand jeu” , cet exercice de solitude que s’impose une femme en se retirant sur une montagne qu’elle vient d’acquérir et dont le sommet culmine à 2871 mètres. Le personnage principal - et presque le seul du roman -s’impose une solitude volontaire où la modernité ne tient qu’au lieu où elle vit. Une coque faite d’un assemblage de résine, de fibre de verre et de PVC haute densité. Une porte, trois hublots latéraux et un oeil-de-boeuf panoramique qui donne sur la vallée et pour l’énergie, des panneaux photovoltaïques. Une bibliothèque, une couchette, une table et une plaque de cuisson. Pour le reste il faut se débrouiller, planter des légumes, les récolter, pêcher des truites…. Et puis il y a ces marches interminables à travers cet immense domaine montagneux, seule, retirée du monde. Le personnage vit cette nouvelle existence à travers les actions qu’elle mène pour assurer sa survie. Parfois des questions l’assaillent et traversent le texte comme des comètes sans jamais déboucher sur quoi que ce soit d’autre. Pas de sensualité non plus, on est beaucoup plus proche d’une chronique d’alpiniste solitaire que de la retraite de Walden. Le texte aurait pu rapidement s’enfermer dans ce huis clos un peu stérile mais Celine va infléchir le récit à partir d’une rencontre aussi surprenante qu’improbable. Comme l’écrit Minard “La montagne n’a pas de bon sens. Elle n’est pas vivable. Elle me rappelle quotidiennement que ce monde n’est pas le mien.” Le texte décrit avec beaucoup de réalisme cette greffe humaine en milieu hostile, réflexion presque philosophique qui échappe aux standards habituels du “nature writing” et parvient finalement à se régénérer dans le surgissement d’une autre solitude. Archibald PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE.COM)
Seule pour être en paix
Peut-on vivre hors jeu, hors de toute société, tout en restant humain ? Est-ce là l'une des conditions requises pour obtenir la paix de l'âme ? C'est le projet de l'héroïne qui s'installe en montagne, dans un abri construit sur-mesure, avec pour seule compagnie celle de la nature majestueuse. Mais bien vite, elle découvre qu'une autre personne partage son espace, venant ainsi perturber sa tranquillité. Dans ce roman-monologue au style vif et poétique, Céline Minard conjugue récit d'aventure, introspection et métaphysique. Un surprenant hommage à la nature et aux relations humaines.
Peut-on vivre hors jeu, hors de toute société, tout en restant humain ? Est-ce là l'une des conditions requises pour obtenir la paix de l'âme ? C'est le projet de l'héroïne qui s'installe en montagne, dans un abri construit sur-mesure, avec pour seule compagnie celle de la nature majestueuse. Mais bien vite, elle découvre qu'une autre personne partage son espace, venant ainsi perturber sa tranquillité. Dans ce roman-monologue au style vif et poétique, Céline Minard conjugue récit d'aventure, introspection et métaphysique. Un surprenant hommage à la nature et aux relations humaines.
Faillir être flingué
4/5
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