Prix Aznavour des Mots d'Amour
Coup de coeur
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  • Nombre de pages216
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.138 kg
  • Dimensions11,2 cm × 17,8 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-253-90763-3
  • EAN9782253907633
  • Date de parution02/01/2025
  • CollectionLe Livre de Poche
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche

Résumé

En 1699, Ilaria Tagianotte naît dans une famille de marchands d'étoffes à Venise. La ville a perdu de sa puissance, mais il lui reste ses palais, ses nombreux théâtres et son carnaval qui dure six mois. C'est une période faste pour l'art. Alors qu'elle est à peine âgée de quelques semaines, sa mère la confie à la Pietà, une institution qui recueille les enfants abandonnés et les voue à la musique.
Dans cette communauté féminine, Ilaria apprend le violon avec le maestro Vivaldi et joue lors de concerts où les Vénitiens se pressent, captivés par le talent des interprètes dissimulées derrière les grilles d'une église. Mais Ilaria rêve d'ailleurs. Son amitié avec la jeune Prudenza l'ouvre au monde. Le grand feu, c'est celui de l'amour qui foudroie Ilaria à l'aube de ses quinze ans. Transportée, elle mêle désir charnel et musique au point de les confondre.
Dans une langue virtuose, Léonor de Récondo révèle la passion qui brûle en nous et nous consomme. Flamboyante, absolue, irréversible.
En 1699, Ilaria Tagianotte naît dans une famille de marchands d'étoffes à Venise. La ville a perdu de sa puissance, mais il lui reste ses palais, ses nombreux théâtres et son carnaval qui dure six mois. C'est une période faste pour l'art. Alors qu'elle est à peine âgée de quelques semaines, sa mère la confie à la Pietà, une institution qui recueille les enfants abandonnés et les voue à la musique.
Dans cette communauté féminine, Ilaria apprend le violon avec le maestro Vivaldi et joue lors de concerts où les Vénitiens se pressent, captivés par le talent des interprètes dissimulées derrière les grilles d'une église. Mais Ilaria rêve d'ailleurs. Son amitié avec la jeune Prudenza l'ouvre au monde. Le grand feu, c'est celui de l'amour qui foudroie Ilaria à l'aube de ses quinze ans. Transportée, elle mêle désir charnel et musique au point de les confondre.
Dans une langue virtuose, Léonor de Récondo révèle la passion qui brûle en nous et nous consomme. Flamboyante, absolue, irréversible.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

2 Coups de cœur
de nos libraires
Patricia BeaujardDecitre Confluence
5/5
Quelques notes et tout s'embrase !
Léonor de Récondo n'écrit comme personne, son texte respire l'amour : maternel- charnel- sensuel- réciproque ou non- de soi, de l'autre- enfoui ou avoué- Chaque mot transpire et rêve d'exister au delà des pages. L'écriture comme la musique est un exutoire et ce prix Aznavour des mots d'amour est plus que mérité car après avoir lu ce roman vous risquez de brûler d'impatience pour lire un autre roman de l'autrice tant ses mots sont justes.
Léonor de Récondo n'écrit comme personne, son texte respire l'amour : maternel- charnel- sensuel- réciproque ou non- de soi, de l'autre- enfoui ou avoué- Chaque mot transpire et rêve d'exister au delà des pages. L'écriture comme la musique est un exutoire et ce prix Aznavour des mots d'amour est plus que mérité car après avoir lu ce roman vous risquez de brûler d'impatience pour lire un autre roman de l'autrice tant ses mots sont justes.
  • Amour
  • musique classique
  • violon
  • amour absolu
  • Vivaldi
Fanny E.Decitre Ecully
5/5
La passion sous toutes ses formes
Ilaria est à peine née qu’elle est placée par sa mère à la Pietà, institution religieuse où elle pourra apprendre la musique. Sa première passion se portera sur le violon, qui va la transcender et lui permettre de rencontrer sa deuxième passion : sa meilleure amie, Prudenza. Avec elle, elle fera les 400 coups lors de ses rares sorties de l’institut et sera menée à sa troisième passion : Paolo. Le Grand Feu qui sommeille en Ilaria va être réveillé par la musique, l’amitié et l’amour. Une très belle histoire, bien écrite avec des personnages ultra attachants !
Ilaria est à peine née qu’elle est placée par sa mère à la Pietà, institution religieuse où elle pourra apprendre la musique. Sa première passion se portera sur le violon, qui va la transcender et lui permettre de rencontrer sa deuxième passion : sa meilleure amie, Prudenza. Avec elle, elle fera les 400 coups lors de ses rares sorties de l’institut et sera menée à sa troisième passion : Paolo. Le Grand Feu qui sommeille en Ilaria va être réveillé par la musique, l’amitié et l’amour. Une très belle histoire, bien écrite avec des personnages ultra attachants !

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.3/5
sur 3 notes dont 2 avis lecteurs
Le grand feu
L'auteure nous livre un roman enchanteresse. C'est l'histoire d'Ilaria, née en 1699 , dans la merveilleuse ville de Venise, Venise la grande , la ville de l'amour, de la musique, du carnaval et de ses fameuses gondoles. Ilaria, jeune nourrisson, est laissée aux portes de la Pieta, une institution réputée pour sa sévérité, une sorte de couvent, loin de tout contact externe. Leur but est de faire de leurs élevés des virtuoses de la musique et du chant. Ilaria est vouée à devenir une grande violoniste, elle qui côtoie le grand Vivaldi, son instructeur. Ilaria a soif de découvrir l’extérieur, voir ce qui se cache derrière ces murs, Sa rencontre avec Prudenza, va changer le cour de sa vie, Elles deviendront inséparables, une amitié fusionnelle, elle réussira avec l'aide de la mère de Prudenza, d'obtenir une autorisation de sortie. Ilaria fera la connaissance du frère de son amie Paolo. Elle connaîtra, ressentira ce que l'amour représente, Son retour a l'institut est toujours source de solitude. Elle se donne corps et âmes à sa passion du violon, un moyen extérioriser ses maux. Arrivera t-elle à les panser? Ilaria découvre l'amour , l'amitié, ce sentiment d'avoir été abandonnée par ses parents ,sa famille, Comment réussira t-elle à gérer tous ses émois? L'auteure nous transporte, avec sa plume sensible, subtile, poétique , dans un monde bercé par la musique, cette musique ivresse qui nous envoûte, qui ne peut nous laisser insensible Un roman repli de tendresse, fascinant, magistrale, Une histoire qui m'a tenu en haleine jusqu'à la fin, un final explosive tel un feu d’artifice tel le"Grand feu" .
L'auteure nous livre un roman enchanteresse. C'est l'histoire d'Ilaria, née en 1699 , dans la merveilleuse ville de Venise, Venise la grande , la ville de l'amour, de la musique, du carnaval et de ses fameuses gondoles. Ilaria, jeune nourrisson, est laissée aux portes de la Pieta, une institution réputée pour sa sévérité, une sorte de couvent, loin de tout contact externe. Leur but est de faire de leurs élevés des virtuoses de la musique et du chant. Ilaria est vouée à devenir une grande violoniste, elle qui côtoie le grand Vivaldi, son instructeur. Ilaria a soif de découvrir l’extérieur, voir ce qui se cache derrière ces murs, Sa rencontre avec Prudenza, va changer le cour de sa vie, Elles deviendront inséparables, une amitié fusionnelle, elle réussira avec l'aide de la mère de Prudenza, d'obtenir une autorisation de sortie. Ilaria fera la connaissance du frère de son amie Paolo. Elle connaîtra, ressentira ce que l'amour représente, Son retour a l'institut est toujours source de solitude. Elle se donne corps et âmes à sa passion du violon, un moyen extérioriser ses maux. Arrivera t-elle à les panser? Ilaria découvre l'amour , l'amitié, ce sentiment d'avoir été abandonnée par ses parents ,sa famille, Comment réussira t-elle à gérer tous ses émois? L'auteure nous transporte, avec sa plume sensible, subtile, poétique , dans un monde bercé par la musique, cette musique ivresse qui nous envoûte, qui ne peut nous laisser insensible Un roman repli de tendresse, fascinant, magistrale, Une histoire qui m'a tenu en haleine jusqu'à la fin, un final explosive tel un feu d’artifice tel le"Grand feu" .
  • belle decouverte
Quand la musique et l’écriture s’épousent si joliment...
Ilaria naît en 1699, dans une Venise à peine remise de la peste où « l’on s’aimait avant de mourir ». Ses parents Francesca et Giacomo Tagianotte, marchands d’étoffes, ont perdu trois de leurs enfants à la naissance. Alors, cette sixième fille qui leur arrive, Francesca l’a tout de suite su, elle la destine à chanter parmi les anges de la Pietà, pour que sa voix s’élève jusqu’au paradis. Ainsi commence le roman d’apprentissage musical et sentimental né de la double passion – le grand feu – de Léonor de Récondo pour le violon et l’écriture. Financée par la République de Venise, la Pietà accueille des filles abandonnées à la naissance, parmi lesquelles se glissent quelques jeunes filles dont la riche famille peut financer la formation, pour en faire, sous l’égide des plus grands maîtres, des chanteuses et des musiciennes accomplies que l’on accourt écouter lors des concerts qu’elles donnent, cachées et tout de blanc vêtues, derrière les grilles de leur hospice. Lorsqu’Ilaria y grandit, le maître de violon et le compositeur principal de la Pietà est Vivaldi. C’est à son école qu’elle découvre, toute jeune, le grand feu qui ne cessera plus de l’habiter, cet « art qui se façonne dans une addition d’âmes » : la musique. Sa voix d’or à elle, ce sera celle de son violon. Mais, alors qu’à ses rêves d’évasion, jusqu’ici circonscrits par sa réclusion à leur seule expression musicale, quelques sorties chaperonnées par la riche famille de son amie Prudenzia viennent donner une nouvelle forme, amoureuse cette fois, un autre feu s’allume, qui pourrait aussi bien nourrir le premier que la consumer tout entière. Ilaria a désormais quinze ans. Pour ses semblables sans appui familial, l’avenir est au couvent, sauf pour celles, assez rares, que l’exception de leurs talents permet de se produire à l’extérieur, et parfois, d’être demandées en mariage... Dans cette Venise d’eau, elle-même enfiévrée six mois par an par la frénésie du carnaval, le roman d’apprentissage se fait incandescent. Du feu de la musique à la passion amoureuse, d’une plume qui palpite et cascade en vagues musicales, Léonor de Recondo investit sa propre expérience, émotionnelle et sensorielle, et, jusqu’à son impressionnant bouquet final, nous enchante d’un récit habité, ardemment romanesque, féministe aussi. Quand la musique et l’écriture s’épousent si joliment, l’on ne résiste pas au feu de la lecture.
Ilaria naît en 1699, dans une Venise à peine remise de la peste où « l’on s’aimait avant de mourir ». Ses parents Francesca et Giacomo Tagianotte, marchands d’étoffes, ont perdu trois de leurs enfants à la naissance. Alors, cette sixième fille qui leur arrive, Francesca l’a tout de suite su, elle la destine à chanter parmi les anges de la Pietà, pour que sa voix s’élève jusqu’au paradis. Ainsi commence le roman d’apprentissage musical et sentimental né de la double passion – le grand feu – de Léonor de Récondo pour le violon et l’écriture. Financée par la République de Venise, la Pietà accueille des filles abandonnées à la naissance, parmi lesquelles se glissent quelques jeunes filles dont la riche famille peut financer la formation, pour en faire, sous l’égide des plus grands maîtres, des chanteuses et des musiciennes accomplies que l’on accourt écouter lors des concerts qu’elles donnent, cachées et tout de blanc vêtues, derrière les grilles de leur hospice. Lorsqu’Ilaria y grandit, le maître de violon et le compositeur principal de la Pietà est Vivaldi. C’est à son école qu’elle découvre, toute jeune, le grand feu qui ne cessera plus de l’habiter, cet « art qui se façonne dans une addition d’âmes » : la musique. Sa voix d’or à elle, ce sera celle de son violon. Mais, alors qu’à ses rêves d’évasion, jusqu’ici circonscrits par sa réclusion à leur seule expression musicale, quelques sorties chaperonnées par la riche famille de son amie Prudenzia viennent donner une nouvelle forme, amoureuse cette fois, un autre feu s’allume, qui pourrait aussi bien nourrir le premier que la consumer tout entière. Ilaria a désormais quinze ans. Pour ses semblables sans appui familial, l’avenir est au couvent, sauf pour celles, assez rares, que l’exception de leurs talents permet de se produire à l’extérieur, et parfois, d’être demandées en mariage... Dans cette Venise d’eau, elle-même enfiévrée six mois par an par la frénésie du carnaval, le roman d’apprentissage se fait incandescent. Du feu de la musique à la passion amoureuse, d’une plume qui palpite et cascade en vagues musicales, Léonor de Recondo investit sa propre expérience, émotionnelle et sensorielle, et, jusqu’à son impressionnant bouquet final, nous enchante d’un récit habité, ardemment romanesque, féministe aussi. Quand la musique et l’écriture s’épousent si joliment, l’on ne résiste pas au feu de la lecture.
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