Le goût des larmes au XVIIIe siècle
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- Nombre de pages250
- PrésentationBroché
- Poids0.328 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-84321-143-0
- EAN9782843211430
- Date de parution20/06/2013
- CollectionL'esprit des lettres
- ÉditeurDesjonquères
- PréfacierCatriona Seth
Résumé
Le Goût des larmes au XVIIIe siècle présente une enquête sur le pathos en un siècle où l'on a beaucoup pleuré, seul ou en public, au théâtre ou en famille, en lisant ou en écrivant. Pleurer, c'était manifester sa sensibilité et donc sa vertu. Mais les larmes ont aussi un prix et le pathos peut donner lieu à une forme de marchandisation des émotions. Cette notion paradoxale emprunte à la fois au sublime et à l'obscène, ce qui fait sa fascinante ambiguïté.
Le pathos s'inscrit dans une esthétique fondée sur le mélange des genres et cherche à exprimer l'inexprimable pour échapper au silence. Demander à cette littérature pourquoi elle pleure revient à comprendre à quoi elle pense. Cela nous permet de lire en miroir la société contemporaine où l'on assiste à un retour du pathos dont témoigne la téléréalité.
Le pathos s'inscrit dans une esthétique fondée sur le mélange des genres et cherche à exprimer l'inexprimable pour échapper au silence. Demander à cette littérature pourquoi elle pleure revient à comprendre à quoi elle pense. Cela nous permet de lire en miroir la société contemporaine où l'on assiste à un retour du pathos dont témoigne la téléréalité.
Le Goût des larmes au XVIIIe siècle présente une enquête sur le pathos en un siècle où l'on a beaucoup pleuré, seul ou en public, au théâtre ou en famille, en lisant ou en écrivant. Pleurer, c'était manifester sa sensibilité et donc sa vertu. Mais les larmes ont aussi un prix et le pathos peut donner lieu à une forme de marchandisation des émotions. Cette notion paradoxale emprunte à la fois au sublime et à l'obscène, ce qui fait sa fascinante ambiguïté.
Le pathos s'inscrit dans une esthétique fondée sur le mélange des genres et cherche à exprimer l'inexprimable pour échapper au silence. Demander à cette littérature pourquoi elle pleure revient à comprendre à quoi elle pense. Cela nous permet de lire en miroir la société contemporaine où l'on assiste à un retour du pathos dont témoigne la téléréalité.
Le pathos s'inscrit dans une esthétique fondée sur le mélange des genres et cherche à exprimer l'inexprimable pour échapper au silence. Demander à cette littérature pourquoi elle pleure revient à comprendre à quoi elle pense. Cela nous permet de lire en miroir la société contemporaine où l'on assiste à un retour du pathos dont témoigne la téléréalité.