Diderot, "Jacques le Fataliste"

Par : Anne Coudreuse
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages130
  • FormatPDF
  • ISBN2-07-505304-9
  • EAN9782075053044
  • Date de parution01/01/1993
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille33 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurGallimard Jeunesse (réédition nu...

Résumé

Un philosophe peut-il écrire des romans ? Diderot a été le maître d'ouvre de l'Encyclopédie, la plus grande aventure intellectuelle des Lumières, et l'ami de D'Alembert. Il a le goût du paradoxe fécond, du doute joyeux, et du dialogue, et décide de s'essayer au roman. Avec « Jacques le Fataliste », il réfléchit sur la nature, les ingrédients, les finalités du roman, et sur le hasard et les nécessités de l'écriture.
Le philosophe s'amuse, conjugue roman picaresque et roman sentimental, réflexion philosophique et impertinences libertines et, dans une mise en abyme de chaque instant, détermine avec ironie le cadre et la conscience du roman moderne.
Un philosophe peut-il écrire des romans ? Diderot a été le maître d'ouvre de l'Encyclopédie, la plus grande aventure intellectuelle des Lumières, et l'ami de D'Alembert. Il a le goût du paradoxe fécond, du doute joyeux, et du dialogue, et décide de s'essayer au roman. Avec « Jacques le Fataliste », il réfléchit sur la nature, les ingrédients, les finalités du roman, et sur le hasard et les nécessités de l'écriture.
Le philosophe s'amuse, conjugue roman picaresque et roman sentimental, réflexion philosophique et impertinences libertines et, dans une mise en abyme de chaque instant, détermine avec ironie le cadre et la conscience du roman moderne.