Le génie gourmand. Les inventions culinaires et gastronomiques de 1791 à nos jours
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- Nombre de pages208
- PrésentationRelié
- FormatGrand Format
- Poids1.642 kg
- Dimensions24,9 cm × 29,9 cm × 2,7 cm
- ISBN978-2-324-03605-7
- EAN9782324036057
- Date de parution31/10/2024
- ÉditeurGründ
Résumé
Les inventeurs sont aussi des gourmands ! Certains mirent au point d'étranges ustensiles, comme le " trouble-absinthe ", l'indispensable " appareil à couper les coquilles des oeufs à la coque " ou, pour les amateurs de soupe, la " cuiller à bouche avec couvercle oscillant protégeant la moustache contre le contenu de la cuiller "... D'autres entreprirent de rénover la gastronomie elle-même, brevetant d'appétissants " pâtés froids de grives aux truffes et aux foies gras ", les " pains d'or à la romaine " ou la savoureuse " double-crème parfumée aux fruits ", dont l'auteur n'est autre que le grand chef Auguste Escoffier.
Certains brevets, plus insolites, peuvent légitimement susciter la méfiance : " farine de lichen ", " bière de lait ", " condiment ferrugineux ", " saucisses de poisson ", " chocolat à la viande ", " gâteaux à l'huile de foie de morue "... Ces tentatives peu couronnées de succès témoignent cependant d'une volonté utopique et philanthropique, celle de nourrir l'humanité à bas prix. Quelques trouvailles enfin, d'un futurisme échevelé, évoquent plutôt l'esprit de fête et la fantaisie de nos arrière-grands-parents, comme la " liqueur électrique ", les " bonbons pyrotechniques " ou les " allumettes comestibles "...
Bruno Fuligni a eu accès aux extraordinaires archives de l'Institut national de la propriété industrielle. A travers les recettes et procédés qu'il y a trouvés, c'est une histoire de l'alimentation qui se dessine.
Certains brevets, plus insolites, peuvent légitimement susciter la méfiance : " farine de lichen ", " bière de lait ", " condiment ferrugineux ", " saucisses de poisson ", " chocolat à la viande ", " gâteaux à l'huile de foie de morue "... Ces tentatives peu couronnées de succès témoignent cependant d'une volonté utopique et philanthropique, celle de nourrir l'humanité à bas prix. Quelques trouvailles enfin, d'un futurisme échevelé, évoquent plutôt l'esprit de fête et la fantaisie de nos arrière-grands-parents, comme la " liqueur électrique ", les " bonbons pyrotechniques " ou les " allumettes comestibles "...
Bruno Fuligni a eu accès aux extraordinaires archives de l'Institut national de la propriété industrielle. A travers les recettes et procédés qu'il y a trouvés, c'est une histoire de l'alimentation qui se dessine.
Les inventeurs sont aussi des gourmands ! Certains mirent au point d'étranges ustensiles, comme le " trouble-absinthe ", l'indispensable " appareil à couper les coquilles des oeufs à la coque " ou, pour les amateurs de soupe, la " cuiller à bouche avec couvercle oscillant protégeant la moustache contre le contenu de la cuiller "... D'autres entreprirent de rénover la gastronomie elle-même, brevetant d'appétissants " pâtés froids de grives aux truffes et aux foies gras ", les " pains d'or à la romaine " ou la savoureuse " double-crème parfumée aux fruits ", dont l'auteur n'est autre que le grand chef Auguste Escoffier.
Certains brevets, plus insolites, peuvent légitimement susciter la méfiance : " farine de lichen ", " bière de lait ", " condiment ferrugineux ", " saucisses de poisson ", " chocolat à la viande ", " gâteaux à l'huile de foie de morue "... Ces tentatives peu couronnées de succès témoignent cependant d'une volonté utopique et philanthropique, celle de nourrir l'humanité à bas prix. Quelques trouvailles enfin, d'un futurisme échevelé, évoquent plutôt l'esprit de fête et la fantaisie de nos arrière-grands-parents, comme la " liqueur électrique ", les " bonbons pyrotechniques " ou les " allumettes comestibles "...
Bruno Fuligni a eu accès aux extraordinaires archives de l'Institut national de la propriété industrielle. A travers les recettes et procédés qu'il y a trouvés, c'est une histoire de l'alimentation qui se dessine.
Certains brevets, plus insolites, peuvent légitimement susciter la méfiance : " farine de lichen ", " bière de lait ", " condiment ferrugineux ", " saucisses de poisson ", " chocolat à la viande ", " gâteaux à l'huile de foie de morue "... Ces tentatives peu couronnées de succès témoignent cependant d'une volonté utopique et philanthropique, celle de nourrir l'humanité à bas prix. Quelques trouvailles enfin, d'un futurisme échevelé, évoquent plutôt l'esprit de fête et la fantaisie de nos arrière-grands-parents, comme la " liqueur électrique ", les " bonbons pyrotechniques " ou les " allumettes comestibles "...
Bruno Fuligni a eu accès aux extraordinaires archives de l'Institut national de la propriété industrielle. A travers les recettes et procédés qu'il y a trouvés, c'est une histoire de l'alimentation qui se dessine.