Le futur derrière nous. L'art italien depuis les années 1990, le contemporain face au passé
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- Nombre de pages256
- PrésentationRelié
- FormatGrand Format
- Poids1.015 kg
- Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 3,0 cm
- ISBN978-88-366-5459-8
- EAN9788836654598
- Date de parution26/11/2024
- ÉditeurSilvana Editoriale
Résumé
Quarante ans après Identité italienne, l'importante exposition organisée par Germano Celant au Centre Pompidou à Paris, Villa Arson se fait le théâtre temporaire de la scène artistique italienne la plus récente : de la génération ayant émergé dans les années 1990 à la génération actuelle. Le caractère commun aux vingt artistes (ou groupes artistiques) ne relève pas d'une appartenance culturelle, ni d'un effet de sédimentation d'un temps qui se serait développé dans la continuité : il relève plutôt d'une fracture temporelle, d'une rencontre manquée avec l'Histoire.
Cette scène artistique se définit par le désarroi causé par le retrait officiel de la vague révolutionnaire et créative des années 1970 et par la nécessité de laisser émerger ce qui lui a été enlevé depuis les années 1980 par la réaction idéologique et néolibérale. Ainsi, le regard que ce catalogue met en scène est double et renversé. La fracture temporelle devient l'espace d'un rendez-vous et d'une rencontre avec le passé : un passé qu'aucun des artistes de l'exposition n'a vécu personnellement mais dont ils entendent être les témoins.
Cette scène artistique se définit par le désarroi causé par le retrait officiel de la vague révolutionnaire et créative des années 1970 et par la nécessité de laisser émerger ce qui lui a été enlevé depuis les années 1980 par la réaction idéologique et néolibérale. Ainsi, le regard que ce catalogue met en scène est double et renversé. La fracture temporelle devient l'espace d'un rendez-vous et d'une rencontre avec le passé : un passé qu'aucun des artistes de l'exposition n'a vécu personnellement mais dont ils entendent être les témoins.
Quarante ans après Identité italienne, l'importante exposition organisée par Germano Celant au Centre Pompidou à Paris, Villa Arson se fait le théâtre temporaire de la scène artistique italienne la plus récente : de la génération ayant émergé dans les années 1990 à la génération actuelle. Le caractère commun aux vingt artistes (ou groupes artistiques) ne relève pas d'une appartenance culturelle, ni d'un effet de sédimentation d'un temps qui se serait développé dans la continuité : il relève plutôt d'une fracture temporelle, d'une rencontre manquée avec l'Histoire.
Cette scène artistique se définit par le désarroi causé par le retrait officiel de la vague révolutionnaire et créative des années 1970 et par la nécessité de laisser émerger ce qui lui a été enlevé depuis les années 1980 par la réaction idéologique et néolibérale. Ainsi, le regard que ce catalogue met en scène est double et renversé. La fracture temporelle devient l'espace d'un rendez-vous et d'une rencontre avec le passé : un passé qu'aucun des artistes de l'exposition n'a vécu personnellement mais dont ils entendent être les témoins.
Cette scène artistique se définit par le désarroi causé par le retrait officiel de la vague révolutionnaire et créative des années 1970 et par la nécessité de laisser émerger ce qui lui a été enlevé depuis les années 1980 par la réaction idéologique et néolibérale. Ainsi, le regard que ce catalogue met en scène est double et renversé. La fracture temporelle devient l'espace d'un rendez-vous et d'une rencontre avec le passé : un passé qu'aucun des artistes de l'exposition n'a vécu personnellement mais dont ils entendent être les témoins.