Politiques de la végétation. Pratiques artistiques, stratégies communautaires, agroécologie
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- Nombre de pages187
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.35 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 3,0 cm
- ISBN979-10-93250-09-0
- EAN9791093250090
- Date de parution24/04/2019
- CollectionParcours
- ÉditeurEtérotopia Editions
Résumé
Dans l'art contemporain la pensée écologique est d'une grande importance. L'écologie est interprétée de différentes façons par les artistes, créateurs d'oeuvres, d'actions et d'espaces qui sont très critiques envers les systèmes esthétiques contemporains. Ce livre présente une généalogie et un ensemble d'expériences où se rencontrent pratiques artistiques, activisme et production d'espaces afin de mettre en évidence les relations entre l'agriculture et les mouvements populaires, la construction de communautés urbaines et rurales, pour considérer aussi le rôle joué par l'écologie dans les politiques coloniales.
Artistes, activistes et théoriciens débattent à propos des pratiques esthétiques et politiques en question, des rapports et de l'usage politique de ce qui d'habitude appartient au domaine de la "nature" et des sciences, juste au moment de la montée du néolibéralisme et de la soi-disant green economy. Loin d'être un substrat passif et silencieux, la nature est toujours un agent actif dans le changement historique et indissociable, en tant que tel, de l'action humaine.
Il devrait donc être impossible de parler de nature en général, mais de "natures historiques" particulières, où apparaîtraient moins les dualismes nature/culture, géographie/histoire, structure/super-structure et ainsi de suite.
Artistes, activistes et théoriciens débattent à propos des pratiques esthétiques et politiques en question, des rapports et de l'usage politique de ce qui d'habitude appartient au domaine de la "nature" et des sciences, juste au moment de la montée du néolibéralisme et de la soi-disant green economy. Loin d'être un substrat passif et silencieux, la nature est toujours un agent actif dans le changement historique et indissociable, en tant que tel, de l'action humaine.
Il devrait donc être impossible de parler de nature en général, mais de "natures historiques" particulières, où apparaîtraient moins les dualismes nature/culture, géographie/histoire, structure/super-structure et ainsi de suite.
Dans l'art contemporain la pensée écologique est d'une grande importance. L'écologie est interprétée de différentes façons par les artistes, créateurs d'oeuvres, d'actions et d'espaces qui sont très critiques envers les systèmes esthétiques contemporains. Ce livre présente une généalogie et un ensemble d'expériences où se rencontrent pratiques artistiques, activisme et production d'espaces afin de mettre en évidence les relations entre l'agriculture et les mouvements populaires, la construction de communautés urbaines et rurales, pour considérer aussi le rôle joué par l'écologie dans les politiques coloniales.
Artistes, activistes et théoriciens débattent à propos des pratiques esthétiques et politiques en question, des rapports et de l'usage politique de ce qui d'habitude appartient au domaine de la "nature" et des sciences, juste au moment de la montée du néolibéralisme et de la soi-disant green economy. Loin d'être un substrat passif et silencieux, la nature est toujours un agent actif dans le changement historique et indissociable, en tant que tel, de l'action humaine.
Il devrait donc être impossible de parler de nature en général, mais de "natures historiques" particulières, où apparaîtraient moins les dualismes nature/culture, géographie/histoire, structure/super-structure et ainsi de suite.
Artistes, activistes et théoriciens débattent à propos des pratiques esthétiques et politiques en question, des rapports et de l'usage politique de ce qui d'habitude appartient au domaine de la "nature" et des sciences, juste au moment de la montée du néolibéralisme et de la soi-disant green economy. Loin d'être un substrat passif et silencieux, la nature est toujours un agent actif dans le changement historique et indissociable, en tant que tel, de l'action humaine.
Il devrait donc être impossible de parler de nature en général, mais de "natures historiques" particulières, où apparaîtraient moins les dualismes nature/culture, géographie/histoire, structure/super-structure et ainsi de suite.