Le destin de l'ours

Par : Dario Correnti

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  • Nombre de pages464
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.594 kg
  • Dimensions15,5 cm × 22,6 cm × 3,2 cm
  • ISBN978-2-226-45201-6
  • EAN9782226452016
  • Date de parution25/05/2022
  • ÉditeurAlbin Michel
  • TraducteurMarianne Faurobert

Résumé

Le corps d'un industriel milanais est retrouvé déchiqueté par un ours dans une vallée suisse. Marco Besana, journaliste d'investigation accablé par tes années de travail et les désillusions, couvre l'affaire. Il pourrait la classer comme un banal accident de montagne si sa complice, la jeune reporter Mania Piatti, n'était convaincue d'avoir affaire à un tueur en série, plus féroce que n'importe quelle bête, dont le modus operandi s'inspire de celui d'une célèbre tueuse du XVIIIe siècle.
La traque ne fait que commencer... Dario Correnti signe un thriller vénéneux où l'on retrouve le sensationnel duo de journalistes de son précédent roman, La Nostalgie du sang. Fausses pistes, suspense et histoire, sur les pas des ours sauvages, miroir de l'âme humaine.
Le corps d'un industriel milanais est retrouvé déchiqueté par un ours dans une vallée suisse. Marco Besana, journaliste d'investigation accablé par tes années de travail et les désillusions, couvre l'affaire. Il pourrait la classer comme un banal accident de montagne si sa complice, la jeune reporter Mania Piatti, n'était convaincue d'avoir affaire à un tueur en série, plus féroce que n'importe quelle bête, dont le modus operandi s'inspire de celui d'une célèbre tueuse du XVIIIe siècle.
La traque ne fait que commencer... Dario Correnti signe un thriller vénéneux où l'on retrouve le sensationnel duo de journalistes de son précédent roman, La Nostalgie du sang. Fausses pistes, suspense et histoire, sur les pas des ours sauvages, miroir de l'âme humaine.

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Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Fascinant
Depuis qu’il a pris sa retraite et travaille sous contrat, le journaliste Marco Besana a la sensation qu’il récupère les sujets qui n’intéressent pas ses collègues. Aussi, lorsque son rédacteur en chef lui demande un papier sur un homme tué par ours, il s’énerve. La victime est un industriel de renom, aussi le journal doit en parler. Marco accepte de regarder les dépêches. Ilaria Piatti, une jeune pigiste, est convaincue que l’affaire n’est pas un banal accident, mais l’œuvre d’un tueur en série. Elle parvient à convaincre la rédaction que Marco et elle doivent enquêter. Tous deux partent en Suisse. Leurs découvertes renforcent les soupçons d’Ilaria. De plus, pendant leur enquête, des morts accidentelles allongent la liste qu’elle a établie. Dans celle-ci, aucun décès n’a la même cause : infarctus, attaque d’ours, accident de voiture suivi d’une noyade, etc. Ces morts sont considérées comme naturelles ou accidentelles, seul le duo détonnant de journalistes détecte un point commun dans les modes opératoires. Pour comprendre le fonctionnement du meurtrier, ils se documentent sur le parcours de Giovanna Bonanno, une tueuse du XVIIIe siècle. Des chapitres relatant son histoire sont intercalés dans le récit des investigations du présent. Ilaria et Marco s’étaient rencontrés dans le livre précédent de Dario Correnti : La nostalgie du sang. J’avais aimé ce binôme improbable. Dans ce nouvel opus, leur complicité s’est renforcée. Ils ont appris à accepter les défauts de l’autre et à en rire. Ils se taquinent beaucoup et leur attachement l’un à l’autre est plus fort. Ilaria a pris de l’assurance et son ancien mentor se laisse guider avec amusement. La jeune femme est toujours en décalage avec son époque et ses réparties sont amusantes. Elle est, aussi, émouvante quand elle se confie sur le drame qui a brisé sa vie. Ilaria est déterminée à prouver que les morts ne sont pas accidentelles. Hélas, elle se heurte au silence des autorités suisses. À chaque question, elle reçoit la même réponse : le devoir de confidentialité. Seuls Marco et elle semblent penser que cette série de meurtres est suspecte. Son investissement est entier, elle agit sans protection et avec pugnacité. J’ai été captivée et effrayée par ses déductions. Si vous souhaitez tuer quelqu’un, ce thriller peut vous donner des pistes pour faire passer votre crime en mort naturelle ou accidentelle. Après l’avoir lu, vous vous méfierez si vous trouvez certaines substances anodines à votre domicile. J’avais adoré La nostalgie du sang, même si la fin m’avait semblé abrupte. J’ai encore plus aimé Le destin de l’ours, qui m’a tenue en haleine jusqu’aux dernières pages. J’ai été fascinée par la conclusion de cette affaire, autant par les armes utilisées que par l’identité du coupable. Le plan est sans faille et très intelligent. Ce suspense est génial. J’ai adoré.
Depuis qu’il a pris sa retraite et travaille sous contrat, le journaliste Marco Besana a la sensation qu’il récupère les sujets qui n’intéressent pas ses collègues. Aussi, lorsque son rédacteur en chef lui demande un papier sur un homme tué par ours, il s’énerve. La victime est un industriel de renom, aussi le journal doit en parler. Marco accepte de regarder les dépêches. Ilaria Piatti, une jeune pigiste, est convaincue que l’affaire n’est pas un banal accident, mais l’œuvre d’un tueur en série. Elle parvient à convaincre la rédaction que Marco et elle doivent enquêter. Tous deux partent en Suisse. Leurs découvertes renforcent les soupçons d’Ilaria. De plus, pendant leur enquête, des morts accidentelles allongent la liste qu’elle a établie. Dans celle-ci, aucun décès n’a la même cause : infarctus, attaque d’ours, accident de voiture suivi d’une noyade, etc. Ces morts sont considérées comme naturelles ou accidentelles, seul le duo détonnant de journalistes détecte un point commun dans les modes opératoires. Pour comprendre le fonctionnement du meurtrier, ils se documentent sur le parcours de Giovanna Bonanno, une tueuse du XVIIIe siècle. Des chapitres relatant son histoire sont intercalés dans le récit des investigations du présent. Ilaria et Marco s’étaient rencontrés dans le livre précédent de Dario Correnti : La nostalgie du sang. J’avais aimé ce binôme improbable. Dans ce nouvel opus, leur complicité s’est renforcée. Ils ont appris à accepter les défauts de l’autre et à en rire. Ils se taquinent beaucoup et leur attachement l’un à l’autre est plus fort. Ilaria a pris de l’assurance et son ancien mentor se laisse guider avec amusement. La jeune femme est toujours en décalage avec son époque et ses réparties sont amusantes. Elle est, aussi, émouvante quand elle se confie sur le drame qui a brisé sa vie. Ilaria est déterminée à prouver que les morts ne sont pas accidentelles. Hélas, elle se heurte au silence des autorités suisses. À chaque question, elle reçoit la même réponse : le devoir de confidentialité. Seuls Marco et elle semblent penser que cette série de meurtres est suspecte. Son investissement est entier, elle agit sans protection et avec pugnacité. J’ai été captivée et effrayée par ses déductions. Si vous souhaitez tuer quelqu’un, ce thriller peut vous donner des pistes pour faire passer votre crime en mort naturelle ou accidentelle. Après l’avoir lu, vous vous méfierez si vous trouvez certaines substances anodines à votre domicile. J’avais adoré La nostalgie du sang, même si la fin m’avait semblé abrupte. J’ai encore plus aimé Le destin de l’ours, qui m’a tenue en haleine jusqu’aux dernières pages. J’ai été fascinée par la conclusion de cette affaire, autant par les armes utilisées que par l’identité du coupable. Le plan est sans faille et très intelligent. Ce suspense est génial. J’ai adoré.
Le destin de l'ours
5/5
Dario Correnti
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