Le déploiement de l'ontologie platonicienne. Les dialogues de la fin
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- Nombre de pages204
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.331 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-14-020595-8
- EAN9782140205958
- Date de parution03/01/2023
- CollectionOuverture philosophique. Bibli
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Après l'examen, dans le livre : Platon : Une ontologie qui se déploie - Les dialogues d'avant la fin, des diverses manières écrites par lesquelles la conception platonicienne de l'Erre se déploie dans les dialogues de Platon qui précèdent le Sophiste, le livre présent prend la suite immédiate, et examine comment le déploiement, par écrit, de cette même conception s'effectue, aussi, dans les dialogues platoniciens "de la fin", partant du Sophiste.
Le but du présent livre est, plus en particulier, de démontrer pourquoi, malgré les apparences, les derniers dialogues de Platon n'opèrent aucune modification de son ontologie. Et comment, au contraire, dans ceux-ci aussi, le philosophe déploie, de multiples façons écrites différentes, toujours, en réalité, la même pensée. Ainsi, ce livre démontre, entre autres, pourquoi des thèmes de ces dialogues tardifs, tels que la "communauté mutuelle des genres", le "parricide" de Parménide, la constitution "mixte" des Idées, etc., ne doivent absolument pas être compris comme des nouveautés ; mais comme, au contraire, des thèmes qui sont déjà présents dans l'oeuvre de Platon bien avant ces dialogues, et, en réalité, depuis le début de cette oeuvre.
Le but du présent livre est, plus en particulier, de démontrer pourquoi, malgré les apparences, les derniers dialogues de Platon n'opèrent aucune modification de son ontologie. Et comment, au contraire, dans ceux-ci aussi, le philosophe déploie, de multiples façons écrites différentes, toujours, en réalité, la même pensée. Ainsi, ce livre démontre, entre autres, pourquoi des thèmes de ces dialogues tardifs, tels que la "communauté mutuelle des genres", le "parricide" de Parménide, la constitution "mixte" des Idées, etc., ne doivent absolument pas être compris comme des nouveautés ; mais comme, au contraire, des thèmes qui sont déjà présents dans l'oeuvre de Platon bien avant ces dialogues, et, en réalité, depuis le début de cette oeuvre.
Après l'examen, dans le livre : Platon : Une ontologie qui se déploie - Les dialogues d'avant la fin, des diverses manières écrites par lesquelles la conception platonicienne de l'Erre se déploie dans les dialogues de Platon qui précèdent le Sophiste, le livre présent prend la suite immédiate, et examine comment le déploiement, par écrit, de cette même conception s'effectue, aussi, dans les dialogues platoniciens "de la fin", partant du Sophiste.
Le but du présent livre est, plus en particulier, de démontrer pourquoi, malgré les apparences, les derniers dialogues de Platon n'opèrent aucune modification de son ontologie. Et comment, au contraire, dans ceux-ci aussi, le philosophe déploie, de multiples façons écrites différentes, toujours, en réalité, la même pensée. Ainsi, ce livre démontre, entre autres, pourquoi des thèmes de ces dialogues tardifs, tels que la "communauté mutuelle des genres", le "parricide" de Parménide, la constitution "mixte" des Idées, etc., ne doivent absolument pas être compris comme des nouveautés ; mais comme, au contraire, des thèmes qui sont déjà présents dans l'oeuvre de Platon bien avant ces dialogues, et, en réalité, depuis le début de cette oeuvre.
Le but du présent livre est, plus en particulier, de démontrer pourquoi, malgré les apparences, les derniers dialogues de Platon n'opèrent aucune modification de son ontologie. Et comment, au contraire, dans ceux-ci aussi, le philosophe déploie, de multiples façons écrites différentes, toujours, en réalité, la même pensée. Ainsi, ce livre démontre, entre autres, pourquoi des thèmes de ces dialogues tardifs, tels que la "communauté mutuelle des genres", le "parricide" de Parménide, la constitution "mixte" des Idées, etc., ne doivent absolument pas être compris comme des nouveautés ; mais comme, au contraire, des thèmes qui sont déjà présents dans l'oeuvre de Platon bien avant ces dialogues, et, en réalité, depuis le début de cette oeuvre.
