Le crime du vicomte de Rochechouart (1512). Enquête sur le contexte politique, social et juridique d'une "ténébreuse affaire"

Par : Gabriel de Llobet
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  • Nombre de pages133
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.212 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 0,7 cm
  • ISBN978-2-84287-680-7
  • EAN9782842876807
  • Date de parution24/05/2016
  • CollectionRencontre historiens Limousin
  • ÉditeurPULIM

Résumé

Pourquoi François de Pontville, vicomte de Rochechouart, a-t-il assassiné Pierre Bermondet, lieutenant criminel du Limousin, incarnation du roi en sa province ? L'importance des personnages, la faiblesse du prétexte avancé par le jugement, en ont fait une affaire célèbre et ténébreuse, environnée même de légendes. Les documents connus jusqu'alors sont partiels, paraissent même partiaux ; ils doivent être complétés.
L'auteur a profité du classement du fonds de Rochechouart conservé aux Archives de la Haute-Vienne ; il a bénéficié surtout de l'aide de l'I.A.J. pour ses recherches aux Archives nationales dans les registres du Trésor des Chartes et dans ceux du parlement de Paris (civil et criminel). Cette enquête s'est révélée être un sondage dans le contexte politique de l'époque ; elle a lieu dans une famille proche du pouvoir, entraîne le lecteur dans les arcanes d'une justice royale en pleine construction.
Et la question initiale, dira-t-on ? Certes, elle n'est pas entièrement résolue, mais elle a permis de faire d'intéressantes découvertes.
Pourquoi François de Pontville, vicomte de Rochechouart, a-t-il assassiné Pierre Bermondet, lieutenant criminel du Limousin, incarnation du roi en sa province ? L'importance des personnages, la faiblesse du prétexte avancé par le jugement, en ont fait une affaire célèbre et ténébreuse, environnée même de légendes. Les documents connus jusqu'alors sont partiels, paraissent même partiaux ; ils doivent être complétés.
L'auteur a profité du classement du fonds de Rochechouart conservé aux Archives de la Haute-Vienne ; il a bénéficié surtout de l'aide de l'I.A.J. pour ses recherches aux Archives nationales dans les registres du Trésor des Chartes et dans ceux du parlement de Paris (civil et criminel). Cette enquête s'est révélée être un sondage dans le contexte politique de l'époque ; elle a lieu dans une famille proche du pouvoir, entraîne le lecteur dans les arcanes d'une justice royale en pleine construction.
Et la question initiale, dira-t-on ? Certes, elle n'est pas entièrement résolue, mais elle a permis de faire d'intéressantes découvertes.