Le corps dans l'écriture musicale

Par : Joseph Delaplace, Jean-Paul Olive

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages226
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.38 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-84832-334-3
  • EAN9782848323343
  • Date de parution27/06/2019
  • CollectionEtudes littéraires
  • ÉditeurArtois Presses Université

Résumé

Si la musique naît du corps, l'écriture, en son processus de rationalisation, a contribué à élaborer les manifestations de ce corps jusqu'à un raffinement extrême au point qu'il faut souvent en déplier les multiples médiations, puis en décrypter les éléments épars, pour en recomposer la présence. De l'abstraction la plus rigoureuse de certains processus compositionnels, qui confinent à la maîtrise de toute dimension corporelle, jusqu'à la surexposition du geste dans l'écriture même de pièces qui brouillent la frontière entre musique et théâtre, s'ouvre un champ d'investigation aussi vaste que perturbateur.
La première partie de ce volume - Corps, tradition, modernité - pose quelques importants jalons historiques. La deuxième partie - Geste, dramaturgie, théâtre musical - aborde des cas particuliers dans lesquels le corps producteur de sons (et de silences) est appréhendé avant tout selon sa dimension théâtrale, bien qu'il soit évidemment difficile de séparer, a fortiori dans ces oeuvres, la musique de la dramaturgie.
La troisième et dernière partie - Modèles d'inscription du corps dans la composition contemporaine - présente des écritures musicales dont le trait commun, au-delà des différences de styles et de tons, est la place centrale que le corps occupe dans le travail des compositeurs.
Si la musique naît du corps, l'écriture, en son processus de rationalisation, a contribué à élaborer les manifestations de ce corps jusqu'à un raffinement extrême au point qu'il faut souvent en déplier les multiples médiations, puis en décrypter les éléments épars, pour en recomposer la présence. De l'abstraction la plus rigoureuse de certains processus compositionnels, qui confinent à la maîtrise de toute dimension corporelle, jusqu'à la surexposition du geste dans l'écriture même de pièces qui brouillent la frontière entre musique et théâtre, s'ouvre un champ d'investigation aussi vaste que perturbateur.
La première partie de ce volume - Corps, tradition, modernité - pose quelques importants jalons historiques. La deuxième partie - Geste, dramaturgie, théâtre musical - aborde des cas particuliers dans lesquels le corps producteur de sons (et de silences) est appréhendé avant tout selon sa dimension théâtrale, bien qu'il soit évidemment difficile de séparer, a fortiori dans ces oeuvres, la musique de la dramaturgie.
La troisième et dernière partie - Modèles d'inscription du corps dans la composition contemporaine - présente des écritures musicales dont le trait commun, au-delà des différences de styles et de tons, est la place centrale que le corps occupe dans le travail des compositeurs.