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Le corps, c'est l'écran. La philosophie du visuel de Merleau-Ponty
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- Nombre de pages356
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.436 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 2,5 cm
- ISBN978-88-6976-166-9
- EAN9788869761669
- Date de parution18/10/2018
- CollectionL'oeil et l'esprit
- ÉditeurMimesis
Résumé
" Toute connaissance " écrit Merleau-Ponty " est la perception d'une figure sur un fond. Elle doit s'entourer d'un halo de non connu ou de moins connu, d'une marge d'inattention, qui n'est pas un supplément, mais un élément essentiel ". Cette marge accompagne l'apparition de toute visibilité, de tout corps, de toute image. Elle en est le revers virtuel, limite mobile entre voir et faire voir, distance qui rend possible la vision.
Dans l'extraordinaire prolifération d'images et de dispositifs que notre temps connaît, on ne peut manquer d'interroger cet écart dans le sensible qui hante toute figure.
Dans l'extraordinaire prolifération d'images et de dispositifs que notre temps connaît, on ne peut manquer d'interroger cet écart dans le sensible qui hante toute figure.
" Toute connaissance " écrit Merleau-Ponty " est la perception d'une figure sur un fond. Elle doit s'entourer d'un halo de non connu ou de moins connu, d'une marge d'inattention, qui n'est pas un supplément, mais un élément essentiel ". Cette marge accompagne l'apparition de toute visibilité, de tout corps, de toute image. Elle en est le revers virtuel, limite mobile entre voir et faire voir, distance qui rend possible la vision.
Dans l'extraordinaire prolifération d'images et de dispositifs que notre temps connaît, on ne peut manquer d'interroger cet écart dans le sensible qui hante toute figure.
Dans l'extraordinaire prolifération d'images et de dispositifs que notre temps connaît, on ne peut manquer d'interroger cet écart dans le sensible qui hante toute figure.
