Le cercle des guérisseuses
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- Nombre de pages308
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.44 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-8132-1970-1
- EAN9782813219701
- Date de parution19/03/2019
- ÉditeurGuy Trédaniel
Résumé
Je suis allé à la rencontre de guérisseuses en France, en Suisse, au Canada. Que faut-il entendre par guérisseuses ? Des femmes qui prennent en charge les maux qui ne trouvent plus aucune écoute, qui prennent indistinctement soin du corps et de l’âme, qui soignent à partir de dons. Vous pouvez les appeler aussi bien énergéticiennes, magnétiseuses, naturopathes, médiums, exorcistes, écothérapeutes, chercheuses en mémoire cellulaire, chamanes.
Elles sont pour notre temps celles que les pouvoirs temporels et spirituels ont autrefois empêché d’exercer, persécutés avant de les faire disparaître par le feu. A chacune j’ai demandé de me dire la manière dont elle était devenue guérisseuse, les dons qui entraient dans son travail de guérison, la place qu’elle occupait dans la vie de ses patients. Pour connaître leur art, j’ai reçu de leur part un soin, parfois plusieurs.
C’est la notion de «maladie» et de «guérison» qu’interroge en profondeur ce voyage. En écoutant adolescent les garçons parler des filles, en découvrant le peu de place fait aux femmes dans nos sociétés, j’ai souvent eu honte d’être un homme. Aller au devant de ces guérisseuses était pour moi d’abord un chemin en réparation. Parce qu’elles ont su se relever de leurs blessures, ces femmes peuvent venir au secours de leurs semblables.
Elles incarnent la puissance du féminin dont nous avons, hommes et femmes, si terriblement peur, une peur qui a justifié qu’on discrédite longtemps leur art né de l’expérience et de l’élan d’apaiser. Elles représentent pour moi l’accès à ce monde que nous avons perdu.
Elles sont pour notre temps celles que les pouvoirs temporels et spirituels ont autrefois empêché d’exercer, persécutés avant de les faire disparaître par le feu. A chacune j’ai demandé de me dire la manière dont elle était devenue guérisseuse, les dons qui entraient dans son travail de guérison, la place qu’elle occupait dans la vie de ses patients. Pour connaître leur art, j’ai reçu de leur part un soin, parfois plusieurs.
C’est la notion de «maladie» et de «guérison» qu’interroge en profondeur ce voyage. En écoutant adolescent les garçons parler des filles, en découvrant le peu de place fait aux femmes dans nos sociétés, j’ai souvent eu honte d’être un homme. Aller au devant de ces guérisseuses était pour moi d’abord un chemin en réparation. Parce qu’elles ont su se relever de leurs blessures, ces femmes peuvent venir au secours de leurs semblables.
Elles incarnent la puissance du féminin dont nous avons, hommes et femmes, si terriblement peur, une peur qui a justifié qu’on discrédite longtemps leur art né de l’expérience et de l’élan d’apaiser. Elles représentent pour moi l’accès à ce monde que nous avons perdu.
Je suis allé à la rencontre de guérisseuses en France, en Suisse, au Canada. Que faut-il entendre par guérisseuses ? Des femmes qui prennent en charge les maux qui ne trouvent plus aucune écoute, qui prennent indistinctement soin du corps et de l’âme, qui soignent à partir de dons. Vous pouvez les appeler aussi bien énergéticiennes, magnétiseuses, naturopathes, médiums, exorcistes, écothérapeutes, chercheuses en mémoire cellulaire, chamanes.
Elles sont pour notre temps celles que les pouvoirs temporels et spirituels ont autrefois empêché d’exercer, persécutés avant de les faire disparaître par le feu. A chacune j’ai demandé de me dire la manière dont elle était devenue guérisseuse, les dons qui entraient dans son travail de guérison, la place qu’elle occupait dans la vie de ses patients. Pour connaître leur art, j’ai reçu de leur part un soin, parfois plusieurs.
C’est la notion de «maladie» et de «guérison» qu’interroge en profondeur ce voyage. En écoutant adolescent les garçons parler des filles, en découvrant le peu de place fait aux femmes dans nos sociétés, j’ai souvent eu honte d’être un homme. Aller au devant de ces guérisseuses était pour moi d’abord un chemin en réparation. Parce qu’elles ont su se relever de leurs blessures, ces femmes peuvent venir au secours de leurs semblables.
Elles incarnent la puissance du féminin dont nous avons, hommes et femmes, si terriblement peur, une peur qui a justifié qu’on discrédite longtemps leur art né de l’expérience et de l’élan d’apaiser. Elles représentent pour moi l’accès à ce monde que nous avons perdu.
Elles sont pour notre temps celles que les pouvoirs temporels et spirituels ont autrefois empêché d’exercer, persécutés avant de les faire disparaître par le feu. A chacune j’ai demandé de me dire la manière dont elle était devenue guérisseuse, les dons qui entraient dans son travail de guérison, la place qu’elle occupait dans la vie de ses patients. Pour connaître leur art, j’ai reçu de leur part un soin, parfois plusieurs.
C’est la notion de «maladie» et de «guérison» qu’interroge en profondeur ce voyage. En écoutant adolescent les garçons parler des filles, en découvrant le peu de place fait aux femmes dans nos sociétés, j’ai souvent eu honte d’être un homme. Aller au devant de ces guérisseuses était pour moi d’abord un chemin en réparation. Parce qu’elles ont su se relever de leurs blessures, ces femmes peuvent venir au secours de leurs semblables.
Elles incarnent la puissance du féminin dont nous avons, hommes et femmes, si terriblement peur, une peur qui a justifié qu’on discrédite longtemps leur art né de l’expérience et de l’élan d’apaiser. Elles représentent pour moi l’accès à ce monde que nous avons perdu.