Les huit cahiers
Poche
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- Nombre de pages175
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.21 kg
- Dimensions11,5 cm × 18,5 cm × 1,2 cm
- ISBN2-922868-31-1
- EAN9782922868319
- Date de parution05/01/2005
- CollectionLes Allusifs
- ÉditeurLes Allusifs (Editions)
- TraducteurPaula Salnot
- TraducteurInô Riou
Résumé
Sous la férule d'une centenaire hystérique, les Carvalhais vivent du travail et du sang des pauvres du Nordeste brésilien. Pétris de fourberie et de fatalisme superstitieux, tous rampent devant la redoutable Menina, y compris l'archevêque et le gouverneur, tous sauf deux petits-enfants, Marina aux poumons malades et João le rebelle qui croupit dans un cachot avec une mygale.
Sous la férule d'une centenaire hystérique, les Carvalhais vivent du travail et du sang des pauvres du Nordeste brésilien. Pétris de fourberie et de fatalisme superstitieux, tous rampent devant la redoutable Menina, y compris l'archevêque et le gouverneur, tous sauf deux petits-enfants, Marina aux poumons malades et João le rebelle qui croupit dans un cachot avec une mygale.
Avis librairesCommentaires laissés par les libraires
2 Coups de cœur
de nos libraires
Fabien— Decitre Part-Dieu
5/5
“ ”
L'écriture de Studart est engagée, d'une très grande poésie, teintée de nostalgie, elle rend un hommage passionné à son pays : le Nordeste brésilien, à ses légendes.
Elle nous montre une extraordinaire galerie de portraits de grands propriétaires où dominent une terrible aïeule.
Tous rampent devant elle, excepté deux petits enfants liés par un amour troublant.
Ils résistent chacun à leur manière, sous un régime autoritaire qui est symbolisé par l'horrible mygale qui hante la prison où est enfermé Joao et que Marina visite en cachette régulièrement.
Depuis l'enfance leur amour grandit en même temps que la peur collective, symbolisée elle-même par une malédiction qui frappe chacune des femmes de la famille au fil des générations.
L'écriture de Studart est engagée, d'une très grande poésie, teintée de nostalgie, elle rend un hommage passionné à son pays : le Nordeste brésilien, à ses légendes.
Elle nous montre une extraordinaire galerie de portraits de grands propriétaires où dominent une terrible aïeule.
Tous rampent devant elle, excepté deux petits enfants liés par un amour troublant.
Ils résistent chacun à leur manière, sous un régime autoritaire qui est symbolisé par l'horrible mygale qui hante la prison où est enfermé Joao et que Marina visite en cachette régulièrement.
Depuis l'enfance leur amour grandit en même temps que la peur collective, symbolisée elle-même par une malédiction qui frappe chacune des femmes de la famille au fil des générations.
Fabien— Decitre Part-Dieu
5/5
“ Une écriture engagée. ”
Une écriture d'une très grande poésie, teintée de nostalgie, elle rend un hommage passionné à son pays : le Nordeste brésilien, à ses légendes.
Elle nous montre une extraordinaire galerie de portraits de grands propriétaires où dominent une terrible aïeule.
Tous rampent devant elle, excepté deux petits enfants liés par un amour troublant.
Ils résistent chacun à leur manière, sous un régime autoritaire qui est symbolisé par l'horrible mygale qui hante la prison où est enfermé Joao et que Marina visite en cachette régulièrement.
Depuis l'enfance leur amour grandit en même temps que la peur collective, symbolisée elle-même par une malédiction qui frappe chacune des femmes de la famille au fil des générations.
Une écriture d'une très grande poésie, teintée de nostalgie, elle rend un hommage passionné à son pays : le Nordeste brésilien, à ses légendes.
Elle nous montre une extraordinaire galerie de portraits de grands propriétaires où dominent une terrible aïeule.
Tous rampent devant elle, excepté deux petits enfants liés par un amour troublant.
Ils résistent chacun à leur manière, sous un régime autoritaire qui est symbolisé par l'horrible mygale qui hante la prison où est enfermé Joao et que Marina visite en cachette régulièrement.
Depuis l'enfance leur amour grandit en même temps que la peur collective, symbolisée elle-même par une malédiction qui frappe chacune des femmes de la famille au fil des générations.
A propos de Heloneida Studart
Les huit cahiers
Poche
16,30 €