Les oeuvres de Blanquet renvoient à un univers clos, un lieu refermé par le déploiement même du dessin qui obstrue toute vacuité de blanc. La claustrophobie provoquée par le plein d'images oblige une observation attentive de l'ensemble de la composition et d'être au plus près, là où se niche le détail sardonique, le pathétique. Catalogue de l'exposition du même nom au Wharf en 2012.
Les oeuvres de Blanquet renvoient à un univers clos, un lieu refermé par le déploiement même du dessin qui obstrue toute vacuité de blanc. La claustrophobie provoquée par le plein d'images oblige une observation attentive de l'ensemble de la composition et d'être au plus près, là où se niche le détail sardonique, le pathétique. Catalogue de l'exposition du même nom au Wharf en 2012.