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Le bleu ne te va pas
1e édition
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- Nombre de pages160
- PrésentationBroché
- Poids0.18 kg
- Dimensions12,5 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-35654-135-2
- EAN9782356541352
- Date de parution03/10/2025
- ÉditeurYPSILON
- TraducteurLucie Lamy
Résumé
Le Bleu ne te va pas est le premier roman de l'autrice allemande Judith Schalansky dont l'oeuvre - qui comprend notamment L'atlas des îles abandonnées (Arthaud, 2010) et Inventaire de choses perdues (Ypsilon, 2023) - est désormais reconnue dans le monde entier et traduite dans plus de vingt-cinq langues. Ce "roman marin" et d'apprentissage est un texte d'une grande force poétique sur le lointain, l'étranger, l'inatteignable.
Dans une Allemagne de l'Est aux frontières infranchissables, Jenny, une petite fille qui grandit au bord de la mer, se rêve en matelot et aspire à sillonner le monde par les mers. L'élégant costume bleu et blanc des marins la fascine comme la promesse d'un ailleurs, mais sa grand-mère est formelle : "le bleu ne [lui] va pas" , et Jenny ne deviendra pas matelot. Après la réunification allemande et la disparition de son pays de naissance, la Jenny adulte fait l'expérience de l'ouverture des frontières, mais aussi de la réécriture de l'histoire et de l'inversion des systèmes de valeurs.
Les voyages qu'elle entreprend alors, toujours obsédée par les figures de marins et leur androgynie, sont des circulations dans l'espace autant que dans le temps. S'y mêlent visions du présent, traces de l'histoire et plongées dans les oeuvres du cinéaste soviétique Sergueï Eisenstein et de la photographe américaine Claude Cahun. Dans un récit qui combine les perspectives enfantines - celles de Jenny, du petit Eisenstein ou encore du dernier prince héritier de l'empire russe - et les regards adultes, les frontières physiques, temporelles et de genre se distendent et s'estompent, les images se superposent et les époques dialoguent.
Les ironies et paradoxes de l'histoire - petite ou grande, collective ou personnelle - apparaissent alors avec une clarté singulière.
Dans une Allemagne de l'Est aux frontières infranchissables, Jenny, une petite fille qui grandit au bord de la mer, se rêve en matelot et aspire à sillonner le monde par les mers. L'élégant costume bleu et blanc des marins la fascine comme la promesse d'un ailleurs, mais sa grand-mère est formelle : "le bleu ne [lui] va pas" , et Jenny ne deviendra pas matelot. Après la réunification allemande et la disparition de son pays de naissance, la Jenny adulte fait l'expérience de l'ouverture des frontières, mais aussi de la réécriture de l'histoire et de l'inversion des systèmes de valeurs.
Les voyages qu'elle entreprend alors, toujours obsédée par les figures de marins et leur androgynie, sont des circulations dans l'espace autant que dans le temps. S'y mêlent visions du présent, traces de l'histoire et plongées dans les oeuvres du cinéaste soviétique Sergueï Eisenstein et de la photographe américaine Claude Cahun. Dans un récit qui combine les perspectives enfantines - celles de Jenny, du petit Eisenstein ou encore du dernier prince héritier de l'empire russe - et les regards adultes, les frontières physiques, temporelles et de genre se distendent et s'estompent, les images se superposent et les époques dialoguent.
Les ironies et paradoxes de l'histoire - petite ou grande, collective ou personnelle - apparaissent alors avec une clarté singulière.
Le Bleu ne te va pas est le premier roman de l'autrice allemande Judith Schalansky dont l'oeuvre - qui comprend notamment L'atlas des îles abandonnées (Arthaud, 2010) et Inventaire de choses perdues (Ypsilon, 2023) - est désormais reconnue dans le monde entier et traduite dans plus de vingt-cinq langues. Ce "roman marin" et d'apprentissage est un texte d'une grande force poétique sur le lointain, l'étranger, l'inatteignable.
Dans une Allemagne de l'Est aux frontières infranchissables, Jenny, une petite fille qui grandit au bord de la mer, se rêve en matelot et aspire à sillonner le monde par les mers. L'élégant costume bleu et blanc des marins la fascine comme la promesse d'un ailleurs, mais sa grand-mère est formelle : "le bleu ne [lui] va pas" , et Jenny ne deviendra pas matelot. Après la réunification allemande et la disparition de son pays de naissance, la Jenny adulte fait l'expérience de l'ouverture des frontières, mais aussi de la réécriture de l'histoire et de l'inversion des systèmes de valeurs.
Les voyages qu'elle entreprend alors, toujours obsédée par les figures de marins et leur androgynie, sont des circulations dans l'espace autant que dans le temps. S'y mêlent visions du présent, traces de l'histoire et plongées dans les oeuvres du cinéaste soviétique Sergueï Eisenstein et de la photographe américaine Claude Cahun. Dans un récit qui combine les perspectives enfantines - celles de Jenny, du petit Eisenstein ou encore du dernier prince héritier de l'empire russe - et les regards adultes, les frontières physiques, temporelles et de genre se distendent et s'estompent, les images se superposent et les époques dialoguent.
Les ironies et paradoxes de l'histoire - petite ou grande, collective ou personnelle - apparaissent alors avec une clarté singulière.
Dans une Allemagne de l'Est aux frontières infranchissables, Jenny, une petite fille qui grandit au bord de la mer, se rêve en matelot et aspire à sillonner le monde par les mers. L'élégant costume bleu et blanc des marins la fascine comme la promesse d'un ailleurs, mais sa grand-mère est formelle : "le bleu ne [lui] va pas" , et Jenny ne deviendra pas matelot. Après la réunification allemande et la disparition de son pays de naissance, la Jenny adulte fait l'expérience de l'ouverture des frontières, mais aussi de la réécriture de l'histoire et de l'inversion des systèmes de valeurs.
Les voyages qu'elle entreprend alors, toujours obsédée par les figures de marins et leur androgynie, sont des circulations dans l'espace autant que dans le temps. S'y mêlent visions du présent, traces de l'histoire et plongées dans les oeuvres du cinéaste soviétique Sergueï Eisenstein et de la photographe américaine Claude Cahun. Dans un récit qui combine les perspectives enfantines - celles de Jenny, du petit Eisenstein ou encore du dernier prince héritier de l'empire russe - et les regards adultes, les frontières physiques, temporelles et de genre se distendent et s'estompent, les images se superposent et les époques dialoguent.
Les ironies et paradoxes de l'histoire - petite ou grande, collective ou personnelle - apparaissent alors avec une clarté singulière.